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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 09:41

David Wilkerson est l'une des rares voix prophétiques encore en vie aujourd'hui. Ses messages sont puissants, décapants, sans compromission, et c'est pourquoi beaucoup aujourd'hui ne l'aiment pas et l'accusent d'être un "prophète de malheur". Parmi le corps des prophètes de renommée mondiale, il fut l'un des seuls à avoir reçu de la part du Seigneur un avertissement clair concernant la tragédie des Tours Jumelles de New York, plusieurs mois avant qu'elle ne se produise. L'Eglise devrait prendre au sérieux ses avertissements sur la dépression économique qui vient ainsi que sur les catastrophes mondiales que l'on pressent déjà venir. Leonard Ravenhill déclarait à son propos : "On me pose souvent la question suivante: David Wilkerson est-il un prophète? Eh bien, pas selon la classification de l'Ancien Testament, mais il en est sûrement un dans le cadre du Nouveau Testament. Je soutiens que Dieu l'a établi comme sentinelle sur notre nation (les Etats-Unis). [David] voit l'Eglise de Jésus-Christ blessée, violée et pillée; il sonne la trompette de Dieu pour nous faire voir le péché et l'incrédulité qui ont provoqué cette situation.(...) Un jour, je l'ai vu entrer dans mon bureau en chancelant; ses lèvres tremblaient et les larmes remplissaient ses yeux pendant qu'il me disait: 'Len, c'est à peine si j'ose mettre sur papier et publier le message que le Seigneur m'a donné'. Il l'a fait quand même, et je dois dire que j'en suis extrêmement heureux." Avec ses cheveux grisonnants, David Wilkerson est un homme de Dieu désespéremment brisé par la condition de l'Eglise. Le message qu'il nous livre ces dernières années est celui d'un appel à la sainteté et à la prière d'agonie en faveur d'un monde mourant. Ceux qui recherchent réellement le Seigneur reconnaîtront dans ce serviteur la voix de Dieu, du Père pleurant sur un monde en flammes et sur Son Eglise dévastée par la désolation. Aurons-nous des oreilles et un coeur pour entendre les pleurs de Jésus et Lui dire, à notre tour : "Seigneur Jésus, fais de moi un homme, une femme qui pleure" ?


David Wilkerson est le pasteur qui a fondé l'église Times Square Church. Il est l'auteur de plus de trente livres qui sont source d'inspiration. Il est peut-être le mieux connu pour les premiers temps de son ministère consacrés à de jeunes drogués et des membres de gangs de Manhattan, Bronx et Brooklyn, tel que le relate 'La Croix et le Poignard ". La Croix et le Poignard a été diffusé à plus de quinze millions d'exemplaires en trente-cinq langues depuis 1963 et en 1969 un film de cinéma du même titre est sorti. Teenager Challenge, le ministère que David Wilkerson a initié, continue à atteindre les jeunes désespérément dérangés dans le monde entier à travers plus de deux cents centres qui sont maintenant autonomes et financièrement indépendants. Son programme de restauration des drogués, fondé sur des bases bibliques, a été reconnu comme l'une des actions les plus efficaces parmi celles du même type.

 

Comment tout cela a commencé

Par David Wilkerson

"Toute cette étrange aventure débuta une nuit alors que j'étais assis dans mon bureau lisant le magazine Life. Je tournai simplement une page et à première vue rien ne semblait m'intéresser. La page montrait un dessin au stylo d'un procès ayant lieu à New York, à plus de 500 kilomètres de ma maison en Pennsylvanie rurale. Je n'avais jamais été à New York et je n'avais jamais voulu y aller, sauf peut-être pour voir la Statue de la Liberté. Je commençai à tourner à la page suivante. Mais alors que je le faisais, quelque chose attira mon regard. C'était les yeux d'un visage qui figurait sur le dessin - un garçon. C' était l'un des sept garçons jugés pour meurtre. Je rapprochai le magazine de mes yeux afin de mieux voir. L'artiste avait dépeint un air de confusion, de haine et de désespoir dans les traits du jeune garçon. Soudainement, je commençai à pleurer. "Qu'est-ce qui m'arrive ?" me demandai-je, chassant précipitamment une larme. Ensuite, je regardai l'image plus attentivement. Les garçons étaient tous des adolescents. C'étaient les membres d'un gang surnommé les Dragons.

Au-dessous de l'image il y avait le récit qui racontait comment ils avaient été à High bridge Park à New York lorsqu'ils attaquèrent et tuèrent brutalement une victime de polio de quinze ans nommée Michel Farmer. L'histoire me révolta. Elle fit littéralement tourner mon estomac. Dans notre petite ville de montagne, de telles choses sembleraient avec bienveillance incroyables. Pourtant, je fus ahuri par la pensée suivante qui surgit dans mon esprit. Elle vint sur moi en coup de vent, comme d'un autre endroit: "Va à New York pour aider ces garçons." La pensée me fit sursauter. "Je serais un imbécile si je le faisais" raisonnai-je. "Je ne connais rien des gosses comme eux. Et je ne veux rien en savoir." C'était inutile. L'idée ne partait pas. Je devais aller à New York. Et je devais le faire immédiatement, tandis que le procès était toujours en cours."

Le 28 février 1958, après ce qu'il croyait être la direction divine de Dieu, le pasteur David Wilkerson s'aventura dans une salle de tribunal de New York. Le pasteur d'une petite assemblée de la Pennsylvanie rurale voulut rencontrer les sept adolescents accusés qui étaient jugés pour le meurtre de Michel Farmer. Mais le juge présidant la séance jeta brusquement le pasteur hors de la cour, lui refusant l'accès aux garçons. Des années plus tard, cependant, le pasteur Wilkerson rencontrerait les jeunes hommes dans la prison. Ce jour-là, il fut refusé à David Wilkerson l'occasion de partager avec ces garçons le message brûlant de l'amour de Dieu et Sa puissance de changer des vies. Mais le pasteur continua à retourner à New York pour partager la Bonne Nouvelle avec d'autres jeunes.

 

Teen Challenge et Campagnes d'Evangélisation pour la Jeunesse

Dans les mois qui suivirent sa première visite à New York, le pasteur Wilkerson continua à effectuer des voyages dans la ville. Il passa des jours entiers à prier tandis qu'il marchait dans les rues, partageant l'amour de Dieu avec quiconque l'écoutait. Il organisa des rassemblements pour la jeunesse dans des auditoriums et des théâtres, accueillant des membres de gang, des drogués et des alcooliques qui venaient pour entendre un message d'espoir.

En 1959, il démissionna de son pastorat en Pennsylvanie et vint s'installer avec sa famille à New York, où il fonda le ministère de Teen Challenge (connu initialement sous le nom de Teenage Evangelism). Depuis lors, Teen Challenge touche, dans le monde entier par ses 490 centres, des adolescents et des adultes vivant sous l'addiction d'habitudes contrôlant leurs vies. Le programme de réhabilitation des drogués pratiqué par le ministère et fondé sur des bases bibliques, fut reconnu comme l'une des actions les plus efficaces de son espèce.

Une étude effectuée par l'Institut National d'Abus de Drogue du gouvernement américain établit un taux de guérison à Teen Challenge de 86 pour cent. Beaucoup de participants au programme dont d'anciens drogués, des alcooliques, des membres de gang, des prostituées et autres - furent non seulement réhabilités, mais servent aujourd'hui le Seigneur en tant que ministres ou missionnaires. Le succès phénoménal de Teen Challenge produisit une avalanche d'invitations de la part des églises à travers tout le pays, qui cherchèrent à avoir le pasteur Wilkerson comme orateur aux réunions de jeunesse. Les demandes affluèrent de la part de dirigeants civiques, de fonctionnaires dans des établissements scolaires, de célébrités nationales, de ministres de l'Evangile, de présentateurs d'émissions de télévision et de nouveaux médias de toutes sortes. C'est ainsi que commencèrent les Campagnes d'Evangélisation pour la Jeunesse de David Wilkerson en 1967, un ministère d'évangélisation qui a pour objectif d'atteindre directement les membres les plus indigents de la population, leur offrant de l'aide tant pour le corps que pour l'âme. Il sentit aussi le besoin d'atteindre les adolescents qu'il appelait "goodniks" - les enfants de familles aisées qui s'agitent à force de s'ennuyer - pour les empêcher d'être attirés dans une vie d'esclavage exercé par la drogue, l'alcool, la violence ou l'anarchie.

La Croix et le Poignard

L'histoire des premières années du ministère du pasteur Wilkerson à New York est racontée dans "La Croix et le Poignard". Le livre, qui fut publié en 1963, est devenu un succès et a été distribué à plus de 15 millions d'exemplaires dans plus de 30 langues. En 1969, un film de cinéma du même titre fut produit, mettant en scène Pat Boone dans le rôle de David Wilkerson et Erik Estrada dans le rôle de Nicky Cruz, l'adolescent membre de gang dont la vie avait été radicalement transformée par Christ. Le film relatait de nouveau l'histoire inoubliable des actes de la charité pleine de tendresse et de l'amour éternel de Dieu pour les adolescents de New York, à travers le ministère du pasteur Wilkerson. Aujourd'hui, le livre continue à être un classique à succès et le film est encore regardé par des milliers de gens dans le monde entier. La conversion de Nicky Cruz fut le résultat des prières ardentes de David Wilkerson.

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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 08:27





Jeudi, le 28 mai 2009
 –  Ne vous plaignez pas ! (1)

« Le peuple se mit à se plaindre de ses problèmes et cela déplut à Dieu lorsqu'il les entendit. » Nombres 11.1

Le genre de jérémiades qui déplaît le plus à Dieu, c'est quand ses enfants se plaignent à tort et à travers de leur moindre difficulté. Pour certains, cela peut être un problème de santé, pour d'autres un faux pas dans leur carrière ou un changement incessant d'emploi. Pour d'autres encore une situation familiale qui ne cesse d'empirer et dont ils trouvent difficile d'assurer la responsabilité.

Certains d'entre nous ont fait des choix stupides et notre mariage est parti en déconfiture : maintenant nous luttons avec des problèmes de familles désunies et reconstituées vaille que vaille. Nous devons tous, au cours de notre vie, faire face à des difficultés plus ou moins lourdes à assumer. Nous avons tous, dans les recoins de notre vie, des problèmes qui nous préoccupent, mais Dieu justement ne tient pas à ce que nous nous en plaignions comme si c'était Sa faute à Lui !

Certes les difficultés de la vie ne sont pas toujours faciles à assumer, mais comprenez cette vérité essentielle : si vous vous plaignez de ces difficultés à Dieu, vous rejetez la mesure de grâce qu'Il était sur le point de vous accorder, précisément pour les surmonter. En Lui seul vous pouvez puiser la joie et la force de leur faire face, mais si vous choisissez de vous en plaindre auprès de Lui, comme s'Il devait vous offrir une vie facile et idyllique, vous refusez en même temps cette joie et cette force qu'Il aurait voulu vous accorder. Si vous voulez changer d'attitude, posez-vous ces deux questions :

1- « Suis-je porté naturellement à me plaindre ? » Réfléchissez à cela car il est très facile de reconnaître ce défaut chez les autres, mais beaucoup plus difficile de le voir en soi.

2- « Suis-je disposé à me repentir de mon attitude déplorable ? » Si vous désirez vraiment vous débarrasser de cette attitude qui ne fait que vous enfermer dans le désert de votre solitude, analysez les raisons qui vous ont fait adopter une telle attitude. Si Dieu vous montre qu'un problème non résolu dans votre vie en est à l'origine, sachez le reconnaître et le résoudre. Sinon vous continuerez à vous éloigner de Dieu et des autres.

 

Bob Gass

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 22:09
Délivrée de l'anorexie
Helena Wilkinson
"D'où me viendra le secours? Le secours me vient de l'Éternel..." (Psaume 121/1 2).

Le diagnostic d'anorexie a été posé à mon propos lorsque j'avais 16 ans, mais en fait j'en souffrais depuis longtemps déjà. Je suis née aveugle, et, à l'heure actuelle, ma vision est encore déficiente. Pour cela je me sentais très inférieure ; je me disais : "Je n'ai aucune valeur": Parallèlement, j'avais d'autres problèmes.

A l'âge de 10 ans, je suis entrée à l'internat, où j'ai été vraiment maltraitée, physiquement et affectivement. J'ai alors décidé de cacher mes problèmes, et de ne jamais confier à quiconque ce que je pouvais ressentir, parce que j'estimais trop souffrir à l'intérieur de moi. Vers 13 ans, je suis tombée dans la dépression, sans que je comprenne de quoi il s'agissait. J'ai alors commencé à manger un peu moins, et, ce faisant, j'ai découvert que je me sentais mieux; cela me donnait l'impression de contrôler ce qui risquait de m'arriver; j'avais même le sentiment d'avoir accompli quelque chose. La dépression a beaucoup diminué à ce moment, et je suis ainsi entrée progressivement dans le schéma anorexique. J'ai mis une certaine distance entre mon entourage et moi ; j'étais en fait profondément malheureuse et toutes mes tentatives d'entrer en communication avec les autres se soldèrent par des échecs. J'ai alors acquis la conviction de devoir m'en sortir seule ; mais, à l'âge de 16 ans, ce processus est devenu incontrôlable ; c'était si grave que l'on m'a hospitalisée ; et j'ai failli mourir. A cette époque, je n'étais pas chrétienne, tout en croyant à l'existence de Dieu. Dans le service où l'on me soignait, se trouvait une infirmière chrétienne. C'était un service qui accueillait des cas graves ; onze personnes y sont mortes pendant mon séjour.

Un soir, je me suis sentie si déprimée, si désespérée, que j'ai crié à Dieu. J'ai dit : "Dieu, si tu veux que je meure, que ce soit cette nuit, et si tu ne le veux pas, alors il faut absolument que tu fasses quelque chose, car je n'ai plus de forces pour lutter". Je ne savais rien à propos de ma maladie, mais je me doutais que des problèmes se cachaient derrière cette anorexie. Au moment où j'ai crié à Dieu, mon corps était très froid, j'avais l'impression de sombrer ; mais après ma prière, j'ai été réchauffée, et j'ai eu une vision : j'ai su que j'allais être guérie et m'en sortir. Mais je n'ai pas saisi tout de suite que ce serait d'une manière progressive. J'espérais qu'en me réveillant le matin, je serais immédiatement guérie, mais ce ne fut pas le cas. Ce que j'ai reçu cette nuit là, c'était de l'espoir ; c'est ce dont les malades ont le besoin au plus haut point ; il leur faut une espérance, une raison de vivre.

Voilà donc le premier événement positif que j'ai vécu à l'hôpital. Je pris alors un peu de poids, très peu en fait, et j'ai pu quitter l'hôpital, mais seulement dans une chaise roulante. J'ai alors remonté lentement la pente, tout en étant encore gravement anorexique. Deux ans plus tard, j'ai participé à un camp chrétien ; dès mon arrivée, j'ai remarqué que les gens étaient différents. Je me suis demandé

"Qu'est ce que tous ces jeunes ont que je n'ai pas ? Pourquoi ont ils la paix intérieure, et peuvent ils faire face à la vie d'adulte ?"J'ai réalisé rapidement que la réponse, c'était Jésus. Mais je n'ai pas compris cela profondément d'emblée. J'ai, par la suite, entendu des messages qui m'ont éclairée ; en particulier celui ci

"Ta vie ressemble à une maison, et Jésus vient frapper à ta porte. Tu peux alors lui donner trois réponses soit lui dire cela ne m'intéresse pas, soit commencer à discuter avec lui par la fenêtre, soit encore ouvrir la porte et l'accueillir. Peu importe le désordre qui peut régner à l'intérieur, Il désire entrer avec toi, dans toutes les pièces". J'ai réalisé n'avoir jamais invité Jésus à entrer ; en fait j'étais prête à ce qu'il entre dans certaines pièces, mais je savais qu'au grenier, il y avait une pièce, très poussiéreuse, où je ne voulais pas qu'Il vienne, pour y découvrir de la souffrance, des blessures. Mais j'ai compris qu'Il voulait vraiment me prendre par la main, et pénétrer partout ; j'ai alors fait le choix de l'inviter dans ma vie, et je suis ainsi entrée dans une relation personnelle avec Jésus Christ. A ce moment là, beaucoup de causes sous jacentes à mon anorexie ont disparu.

J'étais à la recherche d'un amour inconditionnel, et je l'ai trouvé en Dieu. J'avais toujours cherché mon identité, et j'ai trouvé en Lui une raison de vivre, un sens à ma vie. Il a fallu bien sûr travailler divers domaines de ma vie, mais j'avais maintenant une base solide pour le faire. Sans Dieu, je n'avais aucun espoir, je pense que je ne serais plus en vie aujourd'hui.

Source : Aimer & Servir (UEMP) Helena Wilkinson
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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 08:50

Mercredi, le 27 mai 2009  –  La grâce divine

« Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu... » 1 Corinthiens 1.3

Bien des lettres de Paul commencent par ces mots : « Que la grâce et la paix vous soient données... » Pourquoi cela ? Parce qu'il est impossible de jouir de la paix de Dieu sans avoir, au préalable, reçu la grâce divine et appris à y demeurer sans cesse. Nous devons comprendre trois points
importants concernant la grâce divine : d'abord elle est un don gratuit de Dieu, ensuite elle nous fait acquérir ce que nous ne pouvons obtenir par nous-mêmes et enfin elle commence à agir en nous dès l'instant où nous cessons de nous débattre tout seuls.

Jacques a écrit : « Dieu résiste aux orgueilleux mais Il fait grâce aux humbles » (
Jacques 4.6). Les humbles sont ceux qui acceptent leur incapacité totale à réussir dans la vie sans l'aide de Dieu. Les orgueilleux, par contre, sont ceux qui cherchent toujours à se féliciter de leurs piètres réussites. Ils aiment à dire et à croire que leur intelligence leur a permis d'accomplir telle ou telle chose, aussi trouvent-ils très difficile de demander et d'obtenir l'aide de Dieu.

Voilà pourquoi Pierre a écrit : « Croissez dans la grâce... » (
2 Pierre 3.18). Nous apprenons à faire confiance à Dieu seulement en nous appuyant sur Lui ! Nous grandissons dans Sa grâce en mettant quotidiennement en pratique cette confiance en Lui, sachant qu'Il nous fournira tout ce dont nous avons besoin, et qu'Il sera là pour intervenir à nos côtés dans chaque situation difficile ou insurmontable à nos yeux. Vous ne pourrez pas vivre un seul jour de votre vie sans l'intervention de la grâce divine. Si vous acceptez cette évidence et si vous voulez, par la foi, en dépendre, Il versera en vous Sa grâce sans jamais en tarir la source !

Ecoutez : « Et nous avons tous reçu de sa plénitude et grâce sur grâce... » (
Jean 1.16). Ou, pour paraphraser Jean : « A partir de l'abondance incroyable de Ses richesses, Il ne cesse de nous accorder bénédiction après bénédiction, faveur après faveur, don après don, sans jamais pouvoir s'arrêter ! »

Bob Gass

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:20
 
 
Les Témoignages
Elle rencontre le Christ à Perpignan
 Alain Denizou le 30 Mai 05

 

Je suis la dernière d’une famille de huit enfants et, comme dans chaque famille, chacun est attiré par des passions diverses. Dans la mienne, mes frères et sœurs étaient attirés par la musique, le sport etc.…
Moi, ma passion, c’était mon père ! C’était le plus beau, le plus fort, le plus intelligent. Mon père était le centre du monde. Tout tournait autour de lui. Je l’aimais jusqu’à tel point que le reste de ma famille n’existait pas. Je faisais tout en fonction de lui. J’étais passionnée de mon père !
Mais, le 26 avril 2001, pour moi, ce fut le drame ! Mon père décéda. Je me sentis d’un seul coup abandonnée. Je n’avais plus de repère. Donc, pour moi, c’était la fin du monde ! une forme de tristesse allait grandissant de jour en jour. C’était une souffrance énorme que la haine et la colère nourrissaient. Et, bien sûr, il fallait que je trouve un coupable, quelqu’un qui soit responsable de ma souffrance !
Un jour, alors que j’étais allongée sur la plage, chez moi, je fixais le ciel et à haute voix je disais : « En fin de compte, ce n’est pas vrai, tu n’existes pas. Tout ce que j’entends dire de toi, ce ne sont que des mensonges ». Je levais le poing contre Dieu et contre les chrétiens car je ne supportais plus de vivre sans mon père à mes côtés. Il fallait vraiment que je parte. Le problème est que je n’ai pas du tout accepté la mort de mon père. Alors, j’en voulais énormément à Dieu, et ma mère subissait : exemple de réflexion faite : « Comment fais-tu pour continuer à aller prier ce Dieu qui n’a pas bougé le petit doigt pour guérir mon père ? »
A cette période là, je préparais le Baccalauréat qu’il fallait obtenir pour pouvoir partir. En fin d’année je l’ai obtenu mais j’avais sombré dans l’alcool et le cannabis… car il me fallait trouver  un « médicament » pour effacer mon chagrin, car  pour moi, Dieu était un « médicament » périmé.
Le 11 septembre 2002, j’étais dans l’avion pour la Métropole. C’était la première fois que je prenais l’avion et que je quittais mon « caillou », chose que je n’aurais pas faite si mon père avait été là.
J’atterris à Perpignan et je m’inscrivis à la Faculté. Mais le gros problème était que je ne pouvais plus me passer de l’alcool et de la drogue. Et comme cela n’était pas évident de se procurer du cannabis, j’ai fait connaissance avec le « chit », et chaque jour je m’enfonçais davantage. C’était ma façon à moi de noyer mon chagrin. Mais le gros problème c’est qu’il fallait renouveler chaque jour « ce médicament ».
J’ai eu vite fait de trouver des gens qui partageaient le même délire que moi. Je me suis fait beaucoup d’amis. Ils venaient chez moi boire, fumer et ensuite ils retournaient chez eux. Boire toute la journée était devenu une habitude ainsi que fumer.
Tous les vendredis, j’avais l’habitude d’aller à Canet faire la fête et fumer des joints à la plage…
L’été 2003 arriva. La vie quotidienne devenait lassante car elle se résumait à boire, manger, fumer.
Le 30 juin, je devais rentrer en Calédonie. Mauvaise nouvelle : le départ fut annulé. Le désespoir vint accentuer ma souffrance.
Un jour, alors que j’étais chez moi, j’allumais la radio pour la première fois depuis que j’étais en France. La chaîne était FM Evangile ; c’était la fin d’une prédication et le mot de la fin était :
« A force de révolte, Dieu finit par se lasser ». Alors là,  je vous avoue, que rien que cette phrase a suffi pour me ramener à la réalité. Le vendredi soir arriva, mes amis m’attendaient sur le parking. Je me souviens que j’ai eu la force de leur dire que je ne voulais pas aller avec eux (Dans la voiture, j’avais l’habitude d’être assise devant. Je n’aimais pas la ceinture et mon rôle était de rouler des joints). Mes amis étaient partis ce soir-là et, arrivés près de Canet, ils ont eu un accident. La voiture était une épave mais il n’y a pas eu de mort,  ni de blessé. Tout de suite, ils ont pensé à moi et m’ont appelée pour me parler de l’accident. Pendant qu’ils me parlaient, j’étais en larmes. Je pleurais car je réalisais vraiment que Dieu me parlait. Le jeudi qui a suivi, je décidais d’aller me promener en ville, ce que je n’avais jamais fait. Alors que je marchais, sur ma droite, je vis une grande porte verte ouverte ; c’était la porte de l’église du boulevard des Pyrénées. Je m’y suis rendue. Le thème de la prédication était le suivant : « Qui prend la première place dans ta vie ? » et l’autre thème : « Chaque fois qu’un problème survient, on se révolte contre Dieu ».
A travers ces deux prédications, toute ma vie a été secouée du jour au lendemain. Le Seigneur m’a donné de réaliser que le meilleur médicament, c’est lui. Il m’a délivré de la drogue, de l’alcool, de la cigarette. Ma souffrance a été complètement effacée. De tout mon cœur, je lui rend toute la louange et l’adoration, et s’il y a une chose que je fais tous les jours, c’est faire monter vers lui toute ma reconnaissance car, si je suis là parmi vous, ce n’est pas un hasard mais c’est grâce à son amour. Le Seigneur m’a donné de réaliser qu’il m’aime, et que même l’amour que j’ai pour mon père ne dépasse pas cet amour qu’il a pour moi. Amen.



        Fredda Claudia Maloune



J'ai une amie qui s'est aussi révoltée lors du décés de sa mère. Elle savait ce qui ne plaisait pas à Dieu et faisait exprés de le faire pour se venger. Le Seigneur est aussi venu la toucher par son amour. Le Seigneur est un Dieu d'amour. Il connait les coeurs. 
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 07:15





Mardi, le 26 mai 2009
 –  A propos de votre destinée

« Le Seigneur accomplira ce qu'Il a prévu pour ma vie. » Psaume 138.8

Evitez la compagnie des gens qui ne savent pas estimer leur propre valeur, car ils seront également incapables d'estimer ce que vous valez. Recherchez plutôt la compagnie de ceux qui sauront vous encourager et vous pousser de l'avant, qui enrichiront votre esprit et vous ouvriront de nouveaux horizons. Vous découvrirez dans leurs yeux le meilleur de vous-même, vous comprendrez ce que vous êtes capable d'accomplir, et vous acquerrez un peu de la sagesse qui tombe de leurs lèvres !

Le jour où vous rencontrerez quelqu'un qui vous dira que vous n'avez plus rien à offrir, n'oubliez pas d'éclater de rire : il n'est pas poli d'entendre une bonne plaisanterie sans en rire ! Quand Dieu vous a créé, Il a dit : « Cela était très bon » (
Genèse 1.31). Ne dites pas le contraire de ce qu'Il a dit ! En vous se cache tant de potentiel encore à développer que les mots « Tout est possible » semblent gravés sur votre front ! Par la grâce de Dieu vous pouvez devenir la personne qu'Il souhaite que vous deveniez. Ecoutez : « Il a décidé de nous donner la vie par la parole de vérité, afin que nous soyons, pour ainsi dire, la plus extraordinaire de Ses créations » (Jacques 1.18).

Si vous regrettez votre passé, souvenez-vous que Dieu, Lui, est intéressé par votre avenir. Son amour n'est pas conditionné par votre performance passée. Ecoutez encore : « Christ est mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs » (
Romains 5.8). Dieu aime nous donner une seconde chance ! Ecoutez ce que dit Paul : « Je n'ai jamais eu le moindre doute que le Dieu qui a commencé une telle oeuvre en vous n'aille jusqu'au bout et accomplisse Son travail à la perfection ! » (Philippiens 1.6). Réjouissez-vous donc, si Dieu vous a accompagné jusqu'à aujourd'hui, à condition que vous Lui laissiez carte blanche, Il vous accompagnera jusqu'au bout du chemin !

Bob Gass

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 21:56
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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 21:40


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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 07:26





Lundi, le 25 mai 2009
 –  Témoignez encore et toujours !

« Ne laissez pas passer les occasions d'annoncer aux autres la Bonne Nouvelle. » Colossiens 4.5

Chaque être humain est important aux yeux de Dieu, sans aucune exception ! Ecoutez : « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même en n'imputant point aux hommes leurs offenses. Tel est le message de réconciliation qu'Il a mis en nous » (2 Corinthiens 5.19). L'amour divin ne nous laisse aucun choix ! « Il n'y a aucune crainte dans l'amour ; l'amour parfait bannit la crainte » (1 Jean.4.18).

Un père se précipitera dans sa maison en feu pour sauver son enfant. Pourquoi ? Parce que son amour pour son enfant est plus fort que sa peur ! Si vous avez peur de partager la Bonne Nouvelle avec vos proches, priez que Dieu place en vous davantage d'amour pour eux ! Tant qu'une seule personne de votre entourage ne fait pas partie de la famille de Dieu, vous devez tout tenter pour lui faire connaître Christ. Si vous ne le faites pas, autant lui dire tout de suite : « allez brûler en enfer ! » A quoi êtes-vous prêt pour empêcher ceux de votre entourage de se retrouver un jour en enfer ? Les inviterez- vous à vous accompagner dans votre église ? Partagerez-vous avec eux votre témoignage ? Leur offrirez-vous cette brochure que vous tenez aujourd'hui entre les mains ? Les inviterez-vous à partager un repas chez vous ? Prierez-vous pour eux jusqu'à ce qu'ils connaissent Jésus-Christ ?

Le champ de votre mission est tout autour de vous !

Un jour futur, au paradis, quelqu'un s'approchera-t-il de vous pour vous remercier en disant : « Si je suis ici, c'est grâce à vous ? » Imaginez votre joie alors de rencontrer ceux que vous aurez aidés à trouver le salut !

Le salut d'une seule âme est plus important que tout ce que vous pouvez accomplir sur cette terre car, souvenez-vous-en, seuls les êtres humains subsisteront dans l'éternité.

Bob Gass

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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 00:00

À vrai dire, le bouddhisme a joué peu de rôle dans ma vie. Si je pratiquais cette religion, c'était par obéissance et non par conviction. Je n'étais pas encore prête à me soumettre à une personne divine.
À partir de douze ans, j'ai pris ma vie en main et je la dirigeais selon mes propres désirs. Je réclamais la liberté et l'indépendance dans tout ce que je faisais, mais j'étais souvent tenue en laisse par une éducation stricte.

J'ai vécu mon adolescence dans tout ce que le monde peut offrir, cela m'a permis de m'extérioriser et de découvrir de nouvelles choses. D'ailleurs, le péché a toujours régné dans mon cœur et a fait de moi une esclave de nombreuses choses. J'aimais danser, chanter, sortir...Ces trois activités étaient mes principales passions, partagées avec d'autres amies. C'était la belle vie!

Parallèlement, des pensées passagères m'ont poussée à réfléchir sur ma vie face à mon existence dans ce monde. J'ai alors débuté une recherche constante de Son créateur. À cette époque, j'entendais souvent parler du christianisme dans mon entourage et la curiosité s'installait dans mon cœur, à la découverte de cette religion, mais sans conduire plus loin. Je n'ai jamais compris pourquoi le bouddhisme n'était pas intéressant pour moi, alors que je pouvais l'exercer sans problème.

En août 1994, ma mère et moi, nous avons participé à une cérémonie religieuse à Paris. À cette occasion, beaucoup de monde s'était réuni, les gens étaient remplis de joie et heureux de prier ensemble, tandis que moi, je m'ennuyais et n'était pas fière d'être présente. Je ne savais pas pourquoi. Quand il a fallu étaler des pétales de fleurs pour adorer Bouddha, j'ai demandé à ma mère: "Pourquoi dois-je faire cela puisque je n'ai aucune croyance?". Elle m'a fait signe de me taire car d'autres personnes avaient entendu. Je refusait de prier ou de faire quoi que ce soit, mais j'étais obligée d'agir comme tout le monde. De retour à la maison, je me suis révoltée contre ma mère, je lui interdisais d'écouter ses cassettes de prières et c'est à partir de ce moment-là que je me suis éloignée complètement du bouddhisme.

À l'approche de mes seize ans, j'avais un autre style de vie qu'aujourd'hui, j'étais entièrement séduite par le prince de ce monde, Satan. Tout ce que je voyais, c'était la désobéissance, la révolte, la débauche, la violence, le mensonge, les mauvaises pensées, enfin tout ce qui peut exister dans un être loin de Dieu. Plus j'avançais dans ma folie, plus je souffrais. Quand on aime une personne, on fait tout pour la garder. C 'était mon cas. Mon copain et moi n'arrivions jamais à nous comprendre, c'était toujours la guerre. Malgré cela, je l'aimais et l'ai supporté huit mois. Les bons moments vécus ensemble s'effaçaient au fur et à mesure de nos mémoires et plus tard, j'ai compris que j'avais toujours été victime d'une trahison "sentimentale".

Un jour, en revenant de l'école, je me suis enfermée dans ma chambre et les yeux vers le ciel, j'ai crié:"Dieu, si tu existes, aide-moi à sortir de cet enfer! S'il te plaît secours-moi car Tu es ma dernière solution!". Et je me suis dit:"Il est temps que tu cherches en qui te confier car si tu veux être le chef de ta vie, tu ne sortiras jamais de ce puits".
Quelques jours plus tard, j'ai rencontré le Témoins de Jéhovah qui m'ont fait découvrir la Bible. Mon but, c'était de trouver une délivrance à mon épreuve mais ils ne m'ont rien apporté.
A début du mois de Juin 1996, j'ai rencontré un chrétien qui m'a invité à un groupe de jeunes. J'y suis allée et à cette occasion, un chant m'a parlé:"On ne peut servir deux maîtres sans que l'un des deux soit trompé". On ne peut non plus ramer sur deux bateaux en même temps, c'est impossible, donc il faut faire un choix! Le lendemain, invitée au culte et à des baptêmes, le refrain d'un cantique m'a profondément touchée."Dieu sait si bien ce qui te semble lourd, qui te fais mal, te trouble chaque jour. Il connaît tes chagrins, ta peur du lendemain, Il veut que tout concoure à notre bien". J'ai pleuré au fond de mon cœur, c'était comme si Dieu me parlait et m'invitait à venir à Lui. Depuis ce jour, j'allais aux études bibliques pour découvrir ce Dieu qui semblait si bien me connaître, ce Dieu qui fait le premier pas vers celui qui souffre alors que chez les bouddhistes, ce sont les gens qui vont vers Bouddha. J'étais consciente que Jésus était mort pour moi sur la croix pour me racheter se mes péchés.

Le Mercredi 3 Juillet 1996, j'ai donné mon cœur à Jésus-Christ. Ma conversion a entraîné celle d'autres membres de ma famille et là, j'ai réellement compris que la grâce de Dieu nous nous avait toujours accompagnés.

La Bible dit dans 2 Co 5.17:"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses sont devenues nouvelles". Je voyais une nouvelle vie qui débutait dans la joie, dans la lumière, je n'étais plus au fond du puits mais j'étais délivrée par la foi en Jésus-Christ, mon Sauveur. Je commençais à partager avec mes amies ce que j'avais appris de Dieu. Je voulais que toutes connaissent ce Dieu si merveilleux.
Cela ne veut pas dire que tout était facile, au contraire, c'était un combat mais je n'ai jamais regretté d'avoir abandonné mes passions, mes proches, mes biens."Autrefois, vous étiez ténèbres et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière!"(Ep 5.8).
Si Dieu nous a choisis, c'est pour Le servir à notre tour et proclamer la bonne nouvelle à tous ceux qui sont perdus comme nous l'étions avant. C'est dans ce but que j'ai accepté le baptême le 1er Juin 1997, car connaître Jésus-Christ, c'est plus que toute autre chose, c'est donner sa vie et souffrir avec Lui.
Le Diable ne nous laisse pas tranquilles lorsque nous venons à Dieu. Il fait tout pour nous décourager, nous faire chuter et nous accuser. Souvent après mon baptême, je suis "tombée dans le panneau". Je traversais des périodes difficiles ainsi que des découragements, mais j'ai appris à vaincre l'ennemi en venant simplement à Dieu, telle que je suis, pour recevoir Son pardon et Son soutien."Car ce qui est né de Dieu triomphe du monde et la victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi"(1Jn 5.4).
La Bible dit que rien ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu et aujourd'hui, je remercie le Seigneur de ce qu'Il m'a conduite dans Son plan merveilleux. L'avenir est entre Ses mains, je n'ai rien à craindre puisque c'est Lui aussi qui dirigeait mon passé.

Une sœur en Christ, m'a dit un jour que j'avais été choisie et adoptée deux fois. La première, ce fut ma mère adoptive qui m'a aimée et élevée depuis ma première semaine sur cette terre, et la seconde, ce fut Dieu mon Père qui m'a aimé et connue avant même de m'avoir formée. La Bible dit dans Jérémie 1.5:"Je te connaissais avant même de t'avoir formé dans le ventre de ta mère".
Oui, nous sommes des créatures merveilleuses et c'est à nous de nous accepter tels que nous sommes. Car Dieu regarde aux cœurs et non aux apparences."Quand je n'étais qu'une masse informe, Tes yeux me voyaient; et sur ton livre étaient inscrits les jours qui m'étaient destinés avant qu'aucun d'eux n'existât"(Ps 139.16).

S.K.

 
S.K.
Ayant grandi dans une famille bouddhiste, j'ai appris à respecter et à prier "Bouddha" dès mon enfance... - ( religions - conversions ) modifié le 04-05-2004

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