Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 08:06

Temoignage de conversion de Kamel 
 Je suis né dans une famille de confession musulmane, nous étions cinq enfants et nos parents nous ont élevés dans la crainte de Dieu. Nous nous aimions les uns les autres, il n’y avait aucun problème de ce côté là, jusqu’au jour où nous sommes partis en vacances en Algérie. Les grosses difficultés ont commencés à ce moment là.
 Là-bas, ma mère et mes deux sœurs se sont mises très vite à fréquenter les mariages, les fêtes et à s’imprégner de plus en plus de la culture algérienne. Qui dit culture dit obligatoirement marabout, cartomancienne, gris-gris etc.
 De retour à la maison en France, l’atmosphère de la maison changeât soudainement ; Des apparitions diaboliques se manifestaient régulièrement, l’ambiance était devenue oppressante et étouffante. La paix du foyer avait disparu pour laisser place à l’angoisse et aux larmes.
 Moi, de mon côté j’avais une dizaine d’années lorsque pour la première fois j’entendis parler de l’évangile, de Jésus et de son amour. Un groupe de jeunes chrétiens réunissait les enfants dans un quartier difficile de Marseille et faisait des petites réunions. Samedi après samedi j’assitais à ces réunions et cela durant une année. Je ne comprenais pas très bien le message de l’évangile, mais ce qui me plaisait dans ces moments là c’était les chants… et les bonbons !
 Ensuite, de l’âge de douze ans à dix-sept ans, je traversais une période assez noire dans ma vie ; échecs scolaires, vols, cambriolages, mauvaises fréquentations, jusqu’au tribunal et à la maison de redressement pour mineurs. La haine et l’amertume grandissaient dans mon cœur, jusqu’à me demander ce que l’avenir me réservait. Tout était vraiment noir pour moi. 
 C’est à l’âge de dix-sept ans qu’un ami chrétien de ma cité m’a invité à une réunion. J’ai dit « oui » avec crainte. Lorsque je suis entré dans cette église et que les personnes ont commencé à chanter, j’ai senti une présence m’envahir, un sentiment étrange de paix m’a saisi, quelque chose de jamais vécu auparavant. J’ai compris que la vérité était là, l’atmosphère était tellement différente de celle de la maison, que je ne voulais plus quitter cette salle.
 Je suis revenu régulièrement. Un certain dimanche après-midi, il y avait des baptêmes, des jeunes garçons, des jeunes filles de mon âge confessaient que Jésus avait changé leur vies et bouleversé leurs êtres. Cette après-midi là, j’ai été convaincu de mon péché, j’ai réalisé comme jamais auparavant que Jésus était mort sur la croix pour mes péchés et qu’il était ressuscité pour me prendre un jour avec lui dans son ciel de gloire. Ayant compris toutes ces choses, je confessais moi aussi Jésus-Christ par les eaux du baptême peu de temps après.
 Depuis ce jour je marche avec lui, il ne m’a jamais laissé, il m’a béni en changeant le mal en bien, il m’a donné une épouse, une fille, il nous a appelé à son service pour prêcher l’évangile. Mais le plus beau cadeau c’est que Dieu a sauvé toute ma famille, mes frères et sœurs, mes parents, la paix de Jésus est venue dans leurs foyers. Gloire à Jésus ! Il est le meilleur des amis !


Kamel



 


Partager cet article
Repost0
24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 08:04

                                                                         TOUS LES DIMANCHES A 9H30

                                                                                     CULTE EN DIRECT

                     CLIQUER CI-APRES :    http://www.porte-ouverte.com/cultes_en_image/direct1.php

Partager cet article
Repost0
24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 07:56





Dimanche, le 24 mai 2009
 –  Doutez-vous ? (2)

« Thomas n'était pas avec eux quand Jésus vint. » Jean 20.24

Il est trop facile de critiquer Thomas parce qu'il a été assailli de doutes, surtout quand on considère le nombre de fois où nous succombons à nos propres doutes ! Thomas était absent le jour où Jésus apparut à ses disciples pour la première fois après Sa résurrection. Leur témoignage ne lui suffisait pas, il souhaitait faire l'expérience lui-même de la présence du Christ ressuscité. Et cette expérience lui fut accordée !

Jésus comprend que si nous Lui adressons une question honnête, sans arrière-pensée, cela ne veut pas dire que nous sommes sceptiques, cela veut simplement dire que nous cherchons la vérité ! Ecoutez la suite : « Une semaine plus tard, les disciples de Jésus étaient de nouveau réunis dans la maison et Thomas était avec eux... Jésus vint et, debout au milieu d'eux, leur dit : « La paix soit avec vous ! » Puis Il dit à Thomas : « Mets ton doigt ici et regarde Mes mains, avance ta main et mets-la dans Mon côté. Cesse de douter et crois ! » Thomas Lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » (
Jean 20.26-28).

Voici deux leçons importantes pour nous aujourd'hui :

1- Un doute honnête peut aboutir à une relation plus intime avec Jésus. Le témoignage des autres ne peut pas vous soutenir à jamais, un jour viendra où vous devrez faire vous-même l'expérience de la présence du Seigneur. Et cela est toujours possible. Thomas commença par douter de Jésus mais finit par subir le martyre pour son Seigneur !

2- Un doute honnête peut évoluer en un niveau de confiance inégalée. Quand tout s'écroule autour de vous, quand la souffrance semble insupportable, quand des événements incompréhensibles viennent s'abattre dans votre vie, un cortège de doutes envahit alors votre esprit, que vous ne pouvez ni devez refouler. Acceptez-les au contraire. Ces heures de doutes deviendront des heures d'apprentissage qui vous pousseront dans les bras de Dieu en quête de réponses, et ce faisant, établiront de nouvelles relations de confiance inégalable entre vous !

Bob Gass

Partager cet article
Repost0
23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 12:33

Bonjour ! Je suis Coréenne, vivant en France. J'aimerais partager avec vous comment je suis sortie de ma dépression...

Elle a commencé quand j'étais toute petite, car j'ai passé les premières années de ma vie à l'orphelinat. Ne connaissant pas mes parents naturels, les question existentielles troublaient mon esprit et créaient en moi un grand vide, avec cette forte sensation d'être perdue… Ce désarroi sans réponse a conditionné ma vie. La moindre épreuve m'abattait très durement. La vie signifiait pour moi "survivre".

J'ai été adoptée par des Français ("mes parents de cœur"). Cependant, l'ambiance familiale était querelleuse, empreinte d'une violence verbale quotidienne. Je ne trouvais pas de réconfort à ma détresse. Souvent, je me suis sentie humiliée ; la loi du plus fort l'emportait. Aussi suis-je vite tombée dans une dépression où je me réfugiais au travers de la rêverie et des fantasmes…

Vers mes 18 ans, j'ai rencontré un grand Amour... Il m'a parlé de Jésus (qui était une image abstraite pour moi) et m'a invitée à l'accompagner à l'église. Je croyais en l'existence de Dieu. Mais la relation avec ce garçon n'a pas abouti. J'en ai conclu que je ne méritais pas l'amour de Dieu et que je devais encore une fois subir le rejet. Je suis retombée très vite dans la dépression. Je recherchais les plaisirs immédiats dans mes relations affectives, les sorties, la voyance... tout ce qui pouvait assouvir mon besoin de paix et d'amour. Ma vie était un gouffre ; je ne ne voyais plus aucune issue pour m'en sortir.

Jusqu'au jour où, alors que je revenais chez moi en bus, une femme est montée et s'est mise à parler de Jésus. Cela m'a touchée et je me suis mise à espérer que Jésus fasse quelque chose pour moi. Arrivée chez moi, j'ai déversé toutes les larmes de mon corps en disant à Dieu :

" Pourquoi ! Pourquoi ? Moi qui croit en toi je n' y arrive pas !!! Je n'arrive pas à vivre avec Toi ! Je me sens triste et loin de toi Jésus!!! J'ai besoin de toi, j'aurai tellement aimé être cette femme qui t'aime! Seigneur sauve-moi ! "

Il s'est passé par la suite un événement incroyable ! Cette nuit là, je me suis sentie réveillée par une présence et là, j'ai vu un homme qui a posé sa main sur moi, et m' a dit qu'il allait m'aider à traverser toutes les épreuves prochaines que j'allais traverser. Je n'avais pas peur. Je me sentais en sécurité. Cet homme, c'était Jésus.

Des épreuves sont effectivement arrivées, mais la différence d'avec avant, c'est que là, j'ai ressentie sa présence à chaque fois près de moi ! Quelques jours après, j'ai découvert une église où des chrétiens expérimentent une relation avec Jésus. Là-bas, j'ai ressentie dans mon coeur cette vérité : "l'amour efface tous les péchés". J'ai demandé pardon à dieu pour mes péchés et j'ai décidé de me faire baptiser pour ce qu'il avait fait pour moi.

Depuis, ma relation personnelle avec mon Père céleste grandit de jours en jours. J'ai trouvé une véritable paix intérieure et une stabilité en sa présence. J'ai pu voir sa puissance et son amour dans de nombreuses délivrances (cigarette, sentiment de solitude...). Pour lui, je sais que je ne suis pas une erreur. Je vous laisse ses paroles, qu'il adresse à vous aussi :

"Ne crains rien car je suis avec toi ; je ramènerai de l'orient ta race, et je te rassemblerai de l'occident... Fais venir mes fils des pays lointains, et mes filles de l'extrémité de la
terre... Qu'on fasse sortir le peuple aveugle qui a des yeux... Vous êtes mes témoins, dit l'Eternel... C' est moi qui suit Dieu ; Je le suis dès le commencement, et nul ne délivre de ma main ; J'agirai: qui s'y opposera ?" (livre d'Esaïe ch.43 versets 5 à 11).

Partager cet article
Repost0
23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 12:19





« Thomas n'était pas avec eux quand Jésus vint. »
Jean 20.24

Comment surmonter vos doutes ? De la même manière que Thomas, en les acceptant en toute honnêteté et en les amenant aux pieds de Jésus. Trop de chrétiens croient avoir compris le message profond du Christianisme et l'ont enfermé dans une grande boîte sur laquelle sont inscrits ces mots : « Ne posez pas de questions, ne soulevez pas de problèmes ! »

Et quand vous avez envie de pleurer le départ d'un être cher, allez-vous demander la permission à quelqu'un ? Ne vous sentez-vous pas libre d'admettre : « Je ne suis vraiment pas sûr de cela ! » Est-il normal de douter ? Tout à fait ! Et même, il est nécessaire de douter ! Si vous ne doutez jamais, c'est probablement parce que vous avez cessé de grandir et de vous développer ! C'est que vous avez trop assimilé les réponses de quelqu'un d'autre et, dans la plupart des cas, ces réponses sont à côté de vos questions, à moins que vous ayez perdu l'habitude de poser des questions !

Etes-vous assez honnête pour admettre vos doutes, ou êtes-vous encore effrayé de l'influence de quelque pauvre chrétien bien intentionné, convaincu quant à lui que toute question est une insulte à Christ ? Vous devez écouter à nouveau les douces paroles de Celui qui connaît le moindre de vos doutes et de vos peurs mieux que vous-même ! Il vous dit : « Que la paix soit avec vous ! Regardez Mes mains et Mes pieds. Regardez avec les yeux de la foi et croyez ! Ma bénédiction vous accompagnera lorsque vous croirez malgré vos doutes. »

Pourquoi ne pas prier : « Seigneur, je ressemble à Thomas lorsqu'il a douté, moi aussi je lutte contre des doutes. Je n'ai pas encore mis ma vie en ordre et je sais que j'en serai incapable tant que je ne me serai pas rapproché de Toi. Merci de m'accepter malgré mes luttes et de ne pas ignorer mes questions. Thomas a atteint finalement ce point de sa vie où il a pu s'exclamer : Mon Seigneur et mon Dieu ! Merci de toute Ta patience à mon égard, merci de m'aider à atteindre le même seuil dans ma vie. »

Bob Gass

Partager cet article
Repost0
22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 16:01
Partager cet article
Repost0
22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 10:48
Partager cet article
Repost0
22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 09:35
« Il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de Dieu » criait ma mère, folle de chagrin lorsque mon beau-frère est revenu de l’hôpital, annonçant la mort de ma jeune sœur Liliane, âgée de 11 ans, mon aînée de trois ans. Ce dimanche soir, une embolie l’emporta. Atteinte de leucémie, depuis plusieurs mois, la maladie a eu raison de sa jeunesse. Je la vois encore, assise sur son fauteuil roulant, les yeux révulsés, bégayant ses dernières paroles « je m’en vais, je vois Jésus, Jésus… » D’une certaine manière, j’étais content. Elle n’aurait plus à souffrir, pas seulement de la maladie qui la rongeait mais aussi de toutes les souffrances morales et psychologiques que notre père, alcoolique et violent, nous faisait tous souffrir.

Je n’ai aucun souvenir d’un moment de tendresse avec lui. Nous subissions fréquemment des coups, des agressions verbales, des insultes. La vie était dure, sans argent, et nous étions obligés de travailler dans une grande épicerie, après l’école, pour payer les crédits. Ma mère faisait des ménages. L’atmosphère de la maison se détériora davantage après la mort de ma sœur et ce, jusqu’au divorce de mes parents.
Nous vivions dans un quartier où nombre d’immigrés italiens habitaient. La plupart travaillaient comme mon père à l’usine Peugeot automobiles. Chaque samedi, la même rengaine, il mettait son costume, passait chez le coiffeur et commençait la tournée des bars et des cabarets de la ville. Combien de fois, tout jeune, j’allais la nuit le rechercher, ivre mort, effondré sur un trottoir.

Rapidement, à mon adolescence, la famille se disloqua. Après des démêlés avec la justice, mon frère aîné parti pour l’Algérie, dans les commandos de Marine. Pour ma part, la scolarité devient rapidement épique. Une vraie montagne russe. Dès l’âge de 14 ans, j’ai commencé à traîner, pas grand-chose ne m’intéressait sinon la musique des Rolling Stones, la marijuana et les filles. Pendant trois ans mon adolescence se passa dans la violence et la petite délinquance. La haine contre toute autorité ravageait mon cœur. Mon père en paya les frais, lorsqu’un soir, ivre et violent, il s’attaqua à moi avec un couteau. Ce soir là, j’ai attenté à ses jours et je suis parti de la maison pour toujours. Je vivais dans une petite chambre chez ma grande sœur et chez des amis.

A cette période, j’ai eu peur et je n’osais pas envisager mon avenir. Je vivais au jour le jour avec une bande de hippies, accroché à la drogue et à la musique. Je courrais de festival pop en festival, de pays en pays, en espérant aller un jour aux Indes.

Un rayon de soleil apparut sur ma route, lorsque pour la première fois, l’amour frappa la porte de mon cœur. J’avais un parcours de relations sexuelles mais l’amour m’était bien inconnu. Ce sentiment, pour moi, n’existait pas. E. une jeune immigrée, d’origine hongroise et serbe, s’attacha à moi. Malheureusement, il fallait compter avec une maîtresse insensible…la drogue. Rapidement, E. fut prise, elle aussi, dans ses filets et la descente fut vertigineuse. En quelques mois, sa santé, sa scolarité, ses relations familiales, se dégradèrent. Nous vivions dans l’angoisse et la dépression. La pensée de me séparer d’elle hantait mon esprit, la culpabilité me rongeait et je voulais mettre un terme à cette misère.
Nous étions en pleine crise, lorsqu’un soir d’été, pour la première fois, je levai les yeux vers le ciel. Il était splendide. Les étoiles brillaient dans une nuit magnifique et la paix habitait le cosmos. Un souhait est monté des profondeurs de mon être tout en me frappant la poitrine : « A si la paix qui là-haut pouvait être la dedans. ». Je vivais du slogan peace and love, mais je ne savais rien, ni de la paix ni de l’amour. Tout n’était que haine, amertume, douleurs, honte, violence.

Mon seul refuge était la drogue, et je ne voulais en rien, en cette fin de semaine de juillet, manquer le rendez-vous avec mon dealer. Le trafic était intense entre les frontières suisses et allemandes où j’habitais. Il nous fallait faire le plein. On ne « dealait » pas à cette époque avec aussi de facilité qu’aujourd’hui, mais à l’heure du rendez-vous, je n’ai vu pas l’ombre du dealer. Agacés, avec E. nous avons quitté les lieux pour marcher dans le centre ville et là, sur une place occupée par des dizaines de jeunes aux cheveux longs et guitares sèches, une femme en petit tailleur, s’approcha de moi et m’interpella avec ces paroles : « Jeune homme, Jésus vous aime. Vous vous appelez Guy et Il m’a envoyé ici pour vous. Il est le chemin, la vérité et la vie. » Des larmes coulaient sur ses joues. « Il vous aime, il est la réponse que vous cherchez depuis si longtemps. Il peut vous apporter la paix que vous cherchez dans votre monde de drogue. » J’étais stupéfait et nerveux à son égard mais ses larmes et ses paroles me touchèrent. Avant de la laisser sur place elle me glissa un morceau de papier où était griffonné son adresse accompagné de ces mots : quand tu veux.

Je trouvai mon dealer à l’endroit convenu en lui reprochant son absence que celui-ci contesta. En effet, on m’assura qu’il était bien là mais que ne l’avais pas vu. Bizarre ! Je compris plus tard, que Dieu, m’avait aveuglé pour ne pas rater un rendez-vous bien plus important.

Le 12 juillet 1972, en fin d’après-midi, nous nous sommes, avec E. retrouvés à l’adresse indiquée. Pendant les trois jours précédents et toute la journée, ces mots résonnaient en moi : « Jésus t’aime, Il est le chemin, la vérité la vie, la paix… » L’amour manifesté par cette femme me travaillait : Pourquoi pleurait-elle pour moi ? Quelqu’un pouvait-il m’aimer, moi, le délinquant, le haineux ?

Ce soir là j’ai découvert le message, l’amour inconditionnel et le pardon immense de Jésus. J’ai compris le sens de sa mort sur la croix. J’ai été brisé par son amour pour moi. « Quelqu’un m’avait tellement aimé qu’il avait préféré donner sa vie pour moi. ». A ses pieds, je fus convaincu, lavé et purifié. Une vie nouvelle, une régénération parfaite commença. La paix entra dans mon cœur pour la première fois de ma vie. Ce jour là, je suis devenu l’enfant d’un Père merveilleux.

Il me guérit instantanément des chaînes de la drogue. Sa puissance de vie triompha de ma haine, de mon amertume et de mon désir de mort. Jésus fit de moi une nouvelle créature. Combien de fois avais-je aspiré à être différent ? Combien de fois j’avais maudit ceux qui m’avaient donné la vie ?
Elisabeth trouva aussi le Berger de son âme. Tout ce que la drogue lui avait pris, le Seigneur de la vie le lui rendit. Sa santé s’améliora rapidement et malgré une intervention chirurgicale grave, qui devait la laisser stérile à cause des dégâts de la drogue dans ses organes, Jésus l’a guérie.
De l’abîme, Il nous a sauvés. Notre vie lui appartient pour toujours. Il l’a racheté à un si grand prix.
Notre seul message est celui-ci : « Jésus est venu chercher et sauver celui qui est perdu ».

Guy Bergamini est maintenant pasteur. Son épouse a bien été guérie de sa stérilité puisqu'ils ont eu plusieurs enfants.
Partager cet article
Repost0
22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 09:15





Vendredi, le 22 mai 2009
 –  Faites-Lui confiance !

« Es-tu vraiment le Messie, ou devons-nous attendre quelqu'un d'autre ? » Matthieu 11.3

Jean ne méritait pas d'être emprisonné dans de telles conditions ! Après tout, n'était-il pas le prophète qui devait préparer l'arrivée du Messie et amener ses contemporains à se repentir ? Et de plus, n'était-il pas le cousin germain de Jésus ! Aussi envoya-t-il ce message à Jésus : « Es-tu vraiment le Messie... ? » En fait, ce qu'il Lui demandait n'était rien moins que : « Qu'est-ce que tu attends pour me tirer de cette prison infâme ? » Question tout à fait légitime lorsqu'on se trouve dans une telle situation où toute espérance commence à vaciller !

Vous êtes-vous jamais trouvé dans une telle situation? Vous êtes-vous jamais demandé : « Où Dieu disparaît-Il quand je commence à souffrir ? » Et le pire, c'est quand vous êtes entièrement dévoué à Son service !

Meg Woodson écrivit les lignes suivantes peu après la mort de sa fille : « Je n'oublierai jamais ses cris de souffrances qui me traversaient de part en part. Comment ce Dieu, qui seul pouvait lui venir en aide, pouvait-Il écouter les hurlements de douleur d'une si jeune femme qui Lui était totalement dévouée et décider de la laisser agoniser ainsi sans rien faire ? » Elle avait atteint une situation où son espérance faisait plus que vaciller ! Ce même Jésus qui savait marcher sur les eaux, chasser les démons et ressusciter les morts aurait pu facilement sauver Jean. Mais Il choisit de ne pas le faire. Il se contenta de lui envoyer un message qui disait à peu près cela : « Ne te fais pas de soucis. Tout s'accomplit selon le plan prévu. Le Royaume est en train de s'établir. Quant à toi, tu as accompli fidèlement ce qu'on t'avait demandé de faire. » (Lisez Matthieu 11.4-5). Ce n'était pas le message que Jean attendait : il espérait que Jésus apporterait des solutions aux problèmes de son époque, tandis que celui-ci était affairé à établir un Royaume éternel.

La prochaine fois que Dieu semble ignorer votre espérance ou votre agenda personnel, ne pensez pas qu'Il ait cessé de se soucier de vous. Sachez que votre vie s'imbrique dans un plan d'une importance qui vous dépasse et qu'Il est affairé à résoudre des situations que vous ne comprendriez pas !

 

Bob Gass

Partager cet article
Repost0
21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 11:32
Une autre jeune fille tuée lors du massacre du Lycée de Colombine : Rachel Joy Scott. Comme Cassie, elle était chrétienne. Elle tenait un journal intime dont je vous fais partager quelques extraits. Son histoire m'a particulièrement émue.

Les sources de cet article : un excellent blog qui lui rend hommage : http://rachel-joy-scott.blogzoom.fr/r8223/Journal-intime-dessins/


Rachel Scott, une adolescente comme beaucoup

d'autres, s'était pleinement engagée à suivre et

servir Jésus-Christ. Malgré les moqueries dont

elle était l'objet à cause de son témoignage,

les doutes qui l'assaillaient parfois, et les

luttes intérieures auxquelles elle était, comme

chaque adolescent, constamment confrontée, elle

demeura fidèle à Dieu. Puis le 20 avril 1999,

elle fut tuée pour sa foi, au lycée de

Columbine, dans le Colorado (Etats-Unis), avec

onze autres étudiants et un professeur.

LA MAIN DE RACHEL

 Blog de rachel-joy-scott :Rachel Joy Scott, La main de Rachel

Peu de temps avant sa mort, Rachel avait dessiné le contour de ses mains et écrit ces quelques mots... "Ces mains appartien- nent à Rachel Joy Scott et un jour elles toucheront le coeur de millions de gens". C'est encore le cas aujourd'hui. "Rachel's Challenge est porte-drapeau de la non violence, créé par Darrell Scott, le père de Rachel. Elle est connue dans tout les USA.

Les larmes de Rachel  

Blog de rachel-joy-scott :Rachel Joy Scott, Les larmes de Rachel

Voici son dessin fait 20 minutes avant son décès.

Un de ses dessins quasi semblables, fait quelques temps avant, représentait une rose poussant hors d'une ancolie. Le lycée de Columbine tient son nom de cette plante, fleur emblématique de l'état du Colorado.

Ce dessin est reconnu pour un dessin prophétique:

La rose est la fleur fétiche des USA. Autour de cette fleur, une fine ligne sous laquelle tombent des gouttes de couleurs rouges. Celles-ci représentent la douleur, le sang et les meurtres pour Columbine.

La ligne elle-même qui tourne autour de la rôse, représente le choc et les tourmentations que la nation américaine subira après cette tragédie.

C'est cette même ligne qui fait la connection avec les yeux de Rachel. Rachel voit les "futurs morts" et les pièges qui se préparent.

Les larmes viennent de ses yeux  qui voient la peine avec 13 larmes pour les 13 victimes qui vont mourir dans les quelques minutes qui suiveront. Elle sera la première d'entre elles.

 

Qui plus est, quelques temps avant,  Rachel avait dessiné une croix avec ces mots:

"Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis".

Ses écrits dans ses journaux intimes sont renversants  

Blog de rachel-joy-scott :Rachel Joy Scott, Ses écrits dans ses journaux intimes sont renversants
Je me noie dans mon propre océan de désespoir.
J'étouffe, les mains serrées autour de mon cou.
Je meurs, très vite, mon âme s'en va, lentement, mon corps s'étiole.
Ce n'est pas un suicide, j'y vois un homicide.
Le monde que vous avez construit a conduit à ma mort.
(Ecrit par Rachel quelques jours à peine avant sa mort prématurée en avril 1999).

Voici quelques extraits de ses écrits... "Je ne vais pas m'excuser de parler de Jésus. Je n'ai pas l'intention de justifier ma foi à leurs yeux. Je ne veux pas cacher la lumière que Dieu a mise en moi. Si je dois tout sacrifier...je le ferai." RJS

  1. 2 Mai 19??Ce sera ma dernière année, Seigneur, j'ai reçu ce que je pouvais. Merci Rjs
  2. Simplement je passe, simplement je traverse.Bien longtemps je ne reste, depuis toujours je le sais: Ce foyer qui est le mien ne durera point. Rjs
  3. "Demain n'est pas une promesse, mais une chance. La vie et la mort de tous ces bien-aimés devraient nous encourager à vivre chaque jour pleinement". Rjs

J'écris non pas pour la gloire, non pas pour la célébrité, non pas pour le succès, mais bien pour mon âme. Rjs


Vivons pleinement pour Jésus chaque journée comme si c'était la dernière, comme l'a fait Rachel. Rachetons le temps. Après tout, nous ne savons pas quand Jésus viendra nous chercher...
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de melody
  • : blog chrétien
  • Contact

GEOLOCALISATION

Recherche

TOP CHRETIEN


Ce site est référencé sur le
Top Chrétien Francophone


 


TOP

Top Elite - The Most Popular (Yet Clean!) Sites on the Web

 Cliquer ci-dessus pour voter pour le blog

Le top sites country gospel chrétien au Québec

Le top sites country gospel chrétien au Québec






Annuaire Chrétien Francophone

Texte Libre



Jésus est mort sur la croix pour tes péchés,
pour t'ouvrir la porte du ciel.
Pêcheur perdu viens à Jésus sans tarder.

Texte Libre


Texte Libre

Locations of visitors to this page