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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 08:25





Jeudi, le 30 avril 2009
 –  Obstacles à l'exaucement de la prière (2)

« Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce. » Hébreux 4.16

Le deuxième obstacle à l'exaucement est le manque de foi ! Quand nous nous rendons compte qu'en tant qu'enfant racheté nous avons le droit de nous approcher de Dieu à tout moment, nous pouvons faire fi des tentatives de l'ennemi pour nous faire croire que nous risquons la condamnation divine. Nous pouvons ainsi nous approcher de Lui avec assurance. Nous cessons enfin de penser : « Je crois que Dieu peut le faire, mais j'ai du mal à croire qu'Il peut le faire... pour moi ! » Une telle pensée était la preuve que nous ne nous estimions pas dignes de nous approcher de Lui.

Mais Jésus nous a rendus dignes d'entrer dans Sa présence ! En nous approchant de Dieu, nous sommes sûrs de compter sur Sa miséricorde. « Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, en vue d'un secours opportun. » La grâce signifie que Dieu nous accordera ce que nous ne méritons pas, à condition que nous ayons suffisamment confiance en Lui pour le Lui demander. Nous le demandons dans le nom de Jésus, pas en vertu du nôtre. En agissant ainsi, ce n'est pas notre personne que nous présentons à Dieu,mais la personne parfaite de Jésus. Car nous ne sommes rien sans Jésus ! D'ailleurs Dieu souhaite faire davantage que ce que nous Lui demandons ou que ce que nous pouvons imaginer (Lisez Ephésiens 3.20). Nous devons donc exercer notre foi, et profiter de tout ce qu'Il peut faire pour nous, en le Lui demandant avec confiance.

Helen Poole a écrit : « Ma petite fille, âgée de quatre ans, a l'habitude de prier avant de s'endormir. Un soir, sa prière dura très longtemps, sa voix se faisant de plus en plus douce jusqu'au moment où seules ses lèvres continuaient à bouger. Puis je l'entendis dire : « Amen ». Je lui demandai alors : « Ma chérie, je n'ai pas entendu un mot de ce que tu as dit » A quoi elle répondit : « Maman, ce n'est pas à toi que je parlais. »

Quand vous comprendrez que non seulement vous avez le droit de parler à Dieu mais qu'en plus Il écoute chacune de vos paroles, vous vous mettrez à prier avec davantage d'assurance, confiant dans l'efficacité de votre conversation avec Lui !

Bob Gass

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 09:46

Sixième Point

L'abandon total implique également l'offrande de nos possessions terrestres à Dieu qui en est le possesseur légitime. Ainsi, nous ne serons plus que les administrateurs des biens que nous possédons. Ce n'est pas à nous , mais à Dieu de décider de l'usage que nous devons faire de nos biens, car Dieu dit : "L'argent est à moi, et l'or est à moi" (Agée 2:8). C'est un point douloureux pour la plupart des chrétiens, y compris ceux de Philadelphie, car, sur ce point, ils manquent de lumière et de connaissance. Néanmoins, il existe une différence de principe entre ces derniers et les autres chrétiens, quoique l'un d'entre eux prétendait que tous les chrétiens sont pareillement égoïstes en ce qui concerne l'argent. Mais cet homme a exagéré : il se prenait lui-même pour norme et, comme il n'est pas libre de l'égoïsme et de l'avarice, il croyait qu'il en était de même pour tous les autres. D'aucuns tranquillisent leur conscience en pensant que, si tous les autres chrétiens sont avares et égoïstes, il n'est pas grave de l'être également, tout comme le monde s'excuse ou se tranquillise avec les péchés des chrétiens -qu'ils soient faux ou réels. Mais les vierges folles peuvent se tromper avec le soi-disant péché d'avarice des vierges sages, car rien n'est plus difficile à juger que ce point-là, et, en dernier ressort, le jugement appartient à Dieu seul.

Nous avons une norme, bien qu'elle ne soit pas toujours valable dans chaque situation : c'est la dîme (Malachie 3:10). Mais, chose curieuse, sur ce point il y a désaccord même chez certains bons chrétiens. Ils disent que la dîme concerne l'Ancien Testament, et que, dans la nouvelle alliance, il n'est plus nécessaire de donner autant. Mais en y regardant de plus près, on constate que Jésus parle du péché de l'avarice_ comme de tout autre péché -avec beaucoup plus de sévérité que les textes de l'Ancien Testament. Si, autrefois Dieu demandait la dîme, dans le Nouveau Testament, Il demande tout : "Vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux" (Luc 18:22). Ce n'était pas simplement un conseil (comme cela est enseigné par l'église catholique), mais un commandement divin pour ce jeune homme riche, et son salut en dépendait. En premier lieu, ce n'était valable que pour lui personnellement. Dieu ne l’exige pas de tous littéralement sous cette forme, mais d’après l’esprit et par sa signification, il reste valable d’une manière générale. Nous sommes tenus de livrer tout notre avoir au Seigneur, et nous ne pouvons le garder qu’en tant que gestionnaires. Comme Il avait le droit de tout demander au jeune homme riche, de même, Il a le droit de tout nous demander, et Il le fait dans certain cas. Mais ce qu’il nous demande à tous, c’est au moins la dîme, car en Matthieu 23:23, Jésus à ordonné de ne pas négliger de donner la dîme. Nulle part, Il ne fait la moindre allusion qui permet à Ses disciples d’en donner moins en cas de pauvreté. Il n’a pas désapprouvé la pauvre veuve parce qu’elle avait mis dans le tronc tout ce qu’elle avait pour vivre. Il ne dit pas qu’elle a été trop généreuse, ou qu’il n’était pas nécessaire de tant donner, mais Il constate seulement le fait qu’elle a donné plus que les autres. (Luc 21:2-4).

Il est significatif qu’après la Pentecôte, les premiers chrétiens aient parfaitement compris qu’ils n’étaient plus les possesseurs, mais les administrateurs de leurs biens. Dans Actes 4:32, il est dit expressément : " Nul ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais tout était commun entre eux ". Encore ne faut-il pas s’y méprendre et faire dire à ce passage que nous sommes obligés d’introduire une communauté de biens sur le modèle des communistes, car la communauté des biens des premiers chrétiens avait un tout autre caractère.

Ce n’était surtout pas une économie de contrainte, mais tout était né librement de l’Esprit et de cet amour brûlant qui les animait tous. Il n’est dit nullement dans la Bible que tous avaient vendu leurs champs ou qu’ils les auraient exploités en commun. Il s’agit avant tout de ceux qui ne possédaient que quelques terrains épars, et qui avaient un autre moyen d’existence, ainsi que de ceux qui possédaient plus de champs qu’il ne leurs en fallait personnellement pour assurer leur subsistance. Mais nous ne trouvons aucun indice dans le Nouveau Testament disant que des paysans, vivant du travail et du produit de leurs champs, les auraient tous vendus pour s’adonner ensuite à la fainéantise. Même si quelques uns avaient agi ainsi, il va sans dire que nous ne devons pas suivre leur exemple qui ne pouvait provenir que d’une fausse exaltation et non de Dieu. Il est certain que le Saint-Esprit qui agissait si puissamment au milieu d’eux, les aurait empêchés de continuer dans cette voie, si elle était apparue.

Nous devons accepter la leçon toujours valable sur la communauté des biens des premiers chrétiens, à savoir : la responsabilité réciproque au sujet de la prospérité et la conscience de notre solidarité comme membres du Corps de Christ. L’Eglise de Dieu forme une sainte famille de Dieu, dans laquelle un membre sert l’autre avec les dons qui lui viennent de Dieu, non dans la contrainte, mais librement, dans l’amour que suscite le Saint-Esprit.

Le but de l’Eglise de Philadelphie est le retour au premier amour de la première Eglise. Les péchés qui ont trait à l’argent sont l’obstacle principal pour retrouver ce premier amour. Ils revêtent diverses formes, de la cupidité à la dilapidation de son bien, car " l’avarice est une racine de tous les maux ". Celui qui veut appartenir à l’Eglise de Philadelphie doit avant tout accomplir un abandon total qui concerne ses bien terrestres, commencer à mettre la dîme de ses revenus à la disposition de Dieu, et aussi tout ce que Dieu lui demande, si l’Esprit le pousse à donner davantage. Il doit rester conscient de ce qu’il n’est plus le propriétaire, mais uniquement le gérant de ses biens terrestres.

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 09:42





Mercredi, le 29 avril 2009
 –  Obstacles à l'exaucement de la prière (1)

« Il m'invoquera, et Je lui répondrai. » Psaume 91.15

Lorsqu'une boîte de nuit ouvrit ses portes dans la rue du Maine, les membres d'une église située à moins de cent mètres, décidèrent d'organiser pendant vingt-quatre heures une chaîne de prières pour demander à Dieu de détruire cette boîte de nuit par le feu. Une semaine plus tard cette dernière fut frappée par la foudre et entièrement détruite. Le propriétaire intenta alors un procès à l'église qui, bien sûr, déclina toute responsabilité !

Au tribunal, après avoir entendu les arguments des deux parties, le juge déclara : « Il me semble que, sans préjuger de la responsabilité de quiconque dans cette affaire, le propriétaire de la boîte de nuit croit plus à l'efficacité de la prière que les membres de l'église eux-mêmes ! »


Le premier obstacle à l'exaucement est... l'absence de prière ! Cela paraît évident, nos prières ne seront pas exaucées si nous ne les formulons pas ! Dire que nous croyons à l'efficacité de la prière n'est pas la même chose que prier. Jacques a écrit : « Vous ne recevez pas, parce que vous ne demandez pas » (Jacques 4.2). Nous devons prendre le temps de demander à Dieu ce dont nous avons besoin et ce que nous désirons. Quelquefois nous formons des projets, nous en parlons avec nos amis, nous leur exprimons nos souhaits et nos espoirs, mais nous ne prions pas. Y penser, en souhaiter la réalisation, espérer et en parler aux autres, ce n'est pas prier.

Prier, c'est tout simplement prier, un point c'est tout ! Quand nous ressentons un besoin particulier ou quand notre situation nous cause un certain souci, si nous n'en parlons pas à Dieu, nous n'avons pas encore vraiment prié. Dieu attend que nous Lui exposions nos requêtes. Il n'est jamais fatigué de nous voir nous approcher de Lui ! Il est capable et prêt à agir à notre place, à condition que nous venions le Lui demander par la prière. Jésus a dit : « Demandez et l'on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvrira à celui qui frappe » (Matthieu 7.7-8).

Bob Gass

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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 09:46

Quatrième Point

 

 

La rupture totale avec le péché comprend aussi la rupture avec la désobéissance aux commandements du Seigneur, car Jésus dit : "Si vous m'aimez, gardez mes commandements". Même sous ce rapport, il existe deux sortes de chrétiens. Ce sont ceux qui se plient à toute la volonté de Dieu, et ceux qui foulent aux pieds, les commandements de Dieu qui ne leur conviennent pas. Parmi ces commandements il s'agit surtout de Matthieu 5:23 et Matthieu 18:15s. Luther dit au sujet de ce dernier : c'est l'un des commandements que l'on néglige le plus. Tout comme je juge mon propre péché en vue de ma sanctification devant Dieu, ainsi je dois aussi agir à l'égard du péché d'autrui, afin que la culpabilité d'un autre ne retombe pas sur moi par la négligence de ce service que je peux lui rendre. Mais, jusqu'à nos jours, cela n'est guère pratiqué. Combien de chrétiens, soi-disant nés de nouveau, se rendent coupables de tels péchés d'omission ! Pour beaucoup d'entre eux, le péché d'omission n'existe pas, et c'est ainsi que ces chrétiens de Laodicée se sentent riches et rassasiés, n'ayant besoin de rien. Un responsable d'une assemblée estime qu'il faut avoir une fortune particulière pour faire le contraire de ce que demande Jésus, notamment se taire là où Jésus nous demande de parler. Cela n'est pas un cas isolé. Il est naturellement plus aisé de se taire que de parler ; on s'évite ainsi bien des souffrances et des désagréments. Et on préfère se mettre à l'écart, car l'homme, même régénéré, de par sa nature, craint la souffrance, et il se tait là où il devrait parler. Mais ce qui est plus grave, c'est qu'il fasse une vertu de sa lâcheté et de sa désobéissance à un commandement biblique. Ces gens ne devraient pas s'installer dans l'illusion de participer à l'Enlèvement. Pendant la Grande Tribulation, ils seront obligés d'apprendre ce qu'ils refusaient d'apprendre auparavant, notamment : reprendre les frères et se laisser reprendre soi-même. Par contre, les chrétiens de Philadelphie se soumettent à toute la Parole de Dieu, et ainsi ils ont la promesse : "Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre" (Apocalypse 3:10).

Cinquième Point

 

 

L'abandon total implique l'offrande de notre profession et de notre temps. A ce sujet, il existe aussi deux sortes de chrétiens. De nombreux croyants _ y compris certains conducteurs spirituels _ pensent que le christianisme et les affaires n'ont rien à voir ensemble. On les sépare non seulement dans la pratique, mais les vierges folles enseignent publiquement cette séparation.

Le conducteur d'une assemblée déclara, au cours d'une réunion, qu'il ne menait pas son commerce selon des principes chrétiens, mais selon des principes commerciaux. En entendant cette phrase, les vierges folles et les vierges sages se révélèrent aussitôt. Tandis que ces dernières la trouvèrent choquante, les premières opinaient de la tête avec compréhension, se disant : "Oui, c'est vrai, dans ma profession, Jésus n'a rien à dire ; ce sont mes affaires personnelles. Je vais à l'église le dimanche, ainsi qu'aux études bibliques ; je fais mon recueillement matin et soir, et cela me suffit. D'ailleurs, je me suis converti lors d'un entretien avec l'évangéliste N.N., et j'ai trouvé la paix ! Que voulez-vous de plus ? Ne suis-je pas riche ? Mon commerce ne regarde pas Jésus, car il n'existe pas de commerce chrétien" ! Or, cela est aussi absurde que de dire qu'il n'existe pas d'alphabet chrétien, ni de chiffres chrétiens et, par conséquent, qu'il n'existe pas d'écoles chrétiennes. Si un instituteur dit qu'il enseigne selon des principes pédagogiques, et si un commerçant dit qu'il mène son commerce selon des principes commerciaux, tout cela, en fait, ne sont que des expressions neutres ou, de façon imagée : des vases vides. Il reste à savoir quel sera le contenu de ces vases. Si le Saint-Esprit le remplit, alors nous aurons un commerce basé sur des principes chrétiens. Si on exclut le Saint-Esprit de son commerce, alors on le mène selon les principes de ce monde. Or, il y a une énorme différence entre les deux, la même qu'entre Satan et Jésus-Christ. Si c'est le Christ qui règne sur notre affaire, le service du prochain sera au premier plan. Mais quand Satan domine, c'est l'enrichissement personnel qui compte en premier lieu. Il est donc inadmissible que le responsable d'un cours biblique jette le trouble dans les consciences en répondant à un commerçant qui expliquait comment il menait son commerce : "Toi, tu peux mener ton affaire selon des principes chrétiens, mais tu ne peux attendre d'un autre qu'il fasse de même". Il est bien évident qu'on ne peut demandera un homme du monde de mener son commerce selon des principes chrétiens, parce qu'il n'est pas soumis à la discipline du Saint-Esprit. Cependant, la société actuelle a établi le principe suivant : L'utilité commune passe avant l'intérêt personnel. Si donc elle oblige même les gens du monde à agir d'après des principes chrétiens, on devrait pouvoir attendre des chrétiens de Philadelphie, ces vierges sages ayant le Saint-Esprit, qu'ils accueillent ce même Esprit aussi dans leur vie professionnelle, car la Bible dit : "Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus" (Colossiens 3:17).

Les exemples suivants montrent que dans les affaires, la différence entre des principes chrétiens et des principes selon le monde n'existe pas seulement en théorie, mais dans la pratique. Un commerçant chrétien a pu déclarer calmement que, dans son commerce, ce n'est pas le gain, mais le service qui se trouve au premier plan -ce que peuvent confirmer tous ceux qui sont en relation avec lui. Son affaire est florissante, parce qu'il la mène selon des principes chrétiens, et ainsi sa clientèle augmente sans cesse. Une telle affaire peut réellement marcher et même prospérer. Elle n'est d'ailleurs pas la seule dans son genre. Qu'il soit dit par là aux vierges folles que, même parmi les commerçants, il existe des vierges sages qui mènent leur commerce selon des principes chrétiens, et que cela est réellement possible.

En revanche, d'autres commerçants, bien que convertis et nés de nouveau, affirment avec opiniâtreté qu'il est totalement impossible de mener une affaire d'après des principes chrétiens, et eux aussi s'appuient sur des faits précis. Pourtant, l'un d'entre eux vante des marchandises dont il sait pertinemment qu'elles ne seront pas utiles aux clients, mais "les affaires sont les affaires!" et ce qui compte, c'est le profit qu'on peut en tirer. Tel est son principe, et tant pis si le client est dupe ! Dans un cas précis, ses employés se sont moqués d'un client assez sot et inexpérimenté pour se faire vendre par leur patron un appareil de mauvaise qualité, alors qu'il en existe de bien meilleurs, et qui sont moins chers. Le patron savait cela tout aussi bien sinon mieux que ses employés, mais il voulait se débarrasser d'un vieil appareil, et il incita son client à l'acheter, en passant sous silence l'existence d'articles meilleurs. De plus, cette vente lui rapporta une belle somme. Ce commerçant, n'a-t-il pas exploité son prochain plutôt que de lui rendre service ? Pour lui, comme pour beaucoup d'autres, il ne s'agit pas d'une bavure unique, mais de la pratique courante des affaires. Qui pourrait encore nier que, dans le monde des affaires, il existe aussi deux sortes de croyants ?

Un autre commerçant, également chrétiens, profita d'une signature irréfléchie pour extorquer 200DM à un client, sous couvert du code commercial. Cela n'a plus rien à voir avec le service du prochain : c'est de l'escroquerie. Et ce cas n'est pas davantage une bavure isolée ; c'est conforme à la pratique de nombreux chrétiens convertis et nés de nouveau. Elle fut même approuvée par un serviteur de Dieu, ce qui prouve que, dans sa vie, il existe encore des domaines où le Saint-Esprit ne peut pas faire pénétrer la lumière divine. Mais cette pratique prit fin le jour où les autorités publiques l'ont interdite. Ainsi, dans ce domaine, la force publique avait plus de lumière d'En Haut que des chrétiens soi-disant convertis et nés de nouveau. Ce serviteur de Dieu justifia cette pratique dans les affaires, sous prétexte qu'on ne pouvait pas exiger qu'un commerçant reprenne une marchandise qui fut commandée ou même vendue. En fait, il n'est pas question de reprendre certaines marchandises telles que la nourriture. Et cependant, il arrive que des commerçants non chrétiens reprennent des articles d'usage, même des étoffes, sans la moindre difficulté, lorsqu'on les rapporte en parfait état. Il existe des magasins dont les propriétaires non-chrétiens donnent leur marchandise à l'essai durant huit jours, ou qui se déclarent prêts à la reprendre si le client n'est pas satisfait. Il est évident qu'une telle pratique ne peut être demandée à tous les commerçants, ne serait-ce que pour des raisons d'ordre technique. Néanmoins, ceux qui l'adoptent démontrent par là, d'une part qu'ils sont persuadés de la qualité de leur marchandise et qu'elle vaut son prix, et d'autre part qu'ils veulent servir le client et non l'exploiter. En revanche, ceux qui, par principe, ne reprennent pas la marchandise, prouvent ainsi qu'ils se préoccupent avant tout de leur profit. Il en est de même pour ceux qui retiennent 25% du prix -pour ne pas perdre leur profit_ quand la marchandise leur est rendue. Ce sont des chrétiens de Laodicée qui seront vomis, et des vierges folles qui seront exclues des Noces, même si elles ont prêché la Parole de Dieu. En définitive, dans les cas qui sont mentionnés, il ne s'agit pas de péchés occasionnels, dus à la faiblesse humaine, mais d'une attitude intérieure foncièrement fausse à l'égard de la profession qu'on exerce.

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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 09:40





Mardi, le 28 avril 2009
 –  Continuez-vous à apprendre ?

« Celui qui écoute les conseils est sage. » Proverbes 12.15

Tout ce que nous savons, nous l'avons appris de quelqu'un, y compris ce dont nous nous attribuons le mérite ! Certaines choses peuvent nous paraître nouvelles,mais elles ne le sont pas pour tout le monde !

Un jour, le Gouverneur de la Caroline du Nord félicita Thomas Edison pour son génie créatif. « Je ne suis pas du tout un inventeur de génie » répliqua ce dernier. « Vous avez pourtant déposé plus de mille brevets » continua le Gouverneur. « C'est vrai, mais la seule invention dont je peux vraiment revendiquer l'originalité est le phonographe » répondit Edison. « Excusez-moi, j'ai peur de ne pas vraiment vous comprendre » ajouta le Gouverneur. « Eh bien » expliqua Edison « Je ne suis qu'une excellente éponge ! J'absorbe autant que possible des idées venues de partout, avant de les mettre en pratique. Ensuite je les améliore jusqu'à ce qu'elles aient acquis une certaine valeur. Mes idées sont, la plupart du temps, les idées d'autres personnes qui ne les ont pas développées. »

Edison passa sa vie à apprendre. Il demeurait ouvert à toute idée nouvelle, avide de connaissance et prêt à toujours apprendre quelque chose. Si vous voulez réussir, apprenez à faire de même. Pour tester votre aptitude à apprendre toujours quelque chose de nouveau, demandez-vous :

1- Suis-je ouvert aux idées et aux opinions des autres ?
2- Suis-je prêt à écouter plutôt qu'à parler ?
3- Suis-je disposé à changer d'opinion lorsque je suis confronté à une nouvelle information ?
4-Est-ce que je reconnais volontiers mes torts ?
5- Est-ce que je réfléchis et analyse toute situation avant d'agir ?
6- Est-ce que je pose facilement des questions ?
7- Suis-je prêt à poser même les questions qui dévoileront
mon ignorance ?
8- Suis-je disposé à agir de manière différente de mes habitudes ?
9- Suis-je enclin à demander conseil aux autres ?
10- Suis-je sur la défensive dès que l'on me critique ou suis-je prêt à écouter la vérité sans idée préconçue ?

La Bible affirme : « La voie de l'insensé est droite à ses yeux, mais celui qui écoute les conseils est sage. »

Bob Gass

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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 08:51

Douze Points Qui Indiquent Clairement Si Oui ou Non Nous Avons Accompli un Total Abandon au Seigneur

Par Christian Röckle

Premier point

Selon Apocalypse 3:12 -et bien d'autres passages- les chrétiens de Philadelphie sont des vainqueurs qui triomphent du péché, et tout particulièrement des péchés de l'orgueil, de l'obstination et des désirs charnels. Sous ce rapport, même parmi les conducteurs spirituels, il existe deux sortes de chrétiens. Lors d'une conférence pour serviteurs de Dieu, où l'accent fut mis sur la vie triomphante, ce point fut contesté avec véhémence par plusieurs d'entre eux. Ceci prouve, une fois de plus, qu'il y a des chrétiens qui font l'expérience de la vie triomphante, et d'autres qui n'en ont pas la moindre notion et qui, par conséquent, se mettent en opposition. Celui qui a accompli l'abandon total, et qui est en communion avec le Christ vivant, trouve en Lui la victoire sur le péché -ce qui ne signifie pas qu'il y ait absence totale de péchés. Mais il y a une énorme différence entre le fait d'être lié au péché ou d'en triompher.

 

 

 

Deuxième point

Il s'ensuit que l'abandon total implique une rupture avec tout ce que l'on reconnaît comme étant un péché. Un croyant ne peut plus vivre dans un péché pour lequel son Sauveur et son Rédempteur a été obligé de laisser sa vie sur la Croix. Cela devrait être évident pour chaque chrétien, mais malheureusement ce n'est pas le cas. C'est surtout l'habitude du mensonge qui joue encore un grand rôle chez certains chrétiens, non seulement chez ceux qui vivent en marge de la chrétienté, mais chez certains conducteurs qui ont le ministère de la Parole. Il est certain que le berger ne peut mener son troupeau plus avant qu'il n'est parvenu lui-même. S'il vit encore dans les péchés -qu'ils soient manifestes ou cachés- il ne pourra montrer à son troupeau comment on sort des liens du péché. Il ne s'agit pas des péchés commis par faiblesse, qui nous surprennent occasionnellement -ce qui peut arriver à chaque croyant- mais bien de manquements grossiers. C'est le cas d'un conducteur d'une assemblée, qui prêche le dimanche, mais qui commet pendant la semaine les mensonges les plus grossiers. Ce ne sont pas seulement des déviations de la vérité, comme chez Ananias et Saphira, mais il renverse carrément la vérité, et fait même un voyage dans l'intention de calomnier quelqu'un. Je pense également à certains adultères qui, malgré leur état de péché, peuvent louer hautement l'entière délivrance de tout péché. Et combien souvent des croyants, ne font-ils pas de fausses déclarations, c'est-à-dire qu'ils mentent pour en tirer quelque avantage, par exemple une plus forte rente, une économie sur le prix d'un voyage ou une diminution des impôts à payer. Mais comme le Saint-Esprit est un esprit de vérité, il est parfaitement clair que ces gens ne peuvent pas avoir le Saint-Esprit, dussent-ils L'avoir eu un jour.

S'il est dit dans Apocalypse 14:5, au sujet des prémices pour Dieu : "Dans leur bouche il ne s'est pas trouvé de mensonge", cela ne signifie pas qu'elles n'ont jamais menti, car d'après Romains 3:4 : "Tous les hommes sont des menteurs". Mais la différence entre les chrétiens de Philadelphie et ceux de Laodicée se trouve dans le fait que les premiers avouent leurs mensonges, afin d'obtenir le pardon, tandis que les derniers les maintiennent, et c'est pourquoi ils n'obtiennent pas de pardon. Ils restent donc des menteurs et ils ne peuvent participer à l'Enlèvement. Je citerai deux exemples que j'ai vus de près, afin de montrer jusqu'à quel point l'habitude du mensonge peut encore exister chez des chrétiens soi-disant convertis et nés de nouveau.

  1.  

  2. Une femme avait un enfant naturel. Puis, s'étant convertie, elle affirma avoir trouvé la paix avec Dieu. Or, un jour, elle accusa le présumé père de l'enfant de n'avoir pas tenu sa promesse de la soutenir, quoiqu'il se dise converti et né de nouveau. Celui-ci attesta sous serment qu'il n'était pas le père de l'enfant. Il reconnut être un pécheur qui a trouvé grâce devant Dieu, mais, cette femme, il ne l'avait même jamais approchée. Elle, de son côté, témoigna également sous serment qu'aucun autre homme que celui-ci ne l'avait touchée. Je leur ai démontré que le menteur, en maintenant son mensonge, mettait son Salut en jeu. Bien qu'ils aient reconnu cela clairement, chacun a maintenu son affirmation.

     

     

  3. Ce conducteur d'assemblée déjà cité et qui, sans aucun doute, a passé par la conversion et la régénération, constata, à la vue de documents précis, qu'il l'avait calomnié un frère. Pourtant, ce conducteur a maintenu que ce n'était pas lui, mais l'autre qui mentait. Et cela n'est qu'une partie de l'affaire, car deux autres responsables d'assemblées, ainsi que toute une série de membres de ces assemblées lui ont donné leur approbation amicale, à seule fin de ne pas se brouiller avec lui. Peut-on encore croire que le calomniateur qui maintient son mensonge puisse participer à l'Enlèvement ?

Troisième Point

 

 

L'abandon total implique également la restitution des biens volés ou détournés. Sous ce rapport, il y a aussi deux sortes de chrétiens : D'une part, ceux qui mettent leur vie passé en ordre, et qui restituent les biens volés ou détournés, parce que le Saint-esprit les pousse à le faire. D'autre part, ceux qui, en tant que vierges folles, n'en voient pas la nécessité, car ils ne sont pas sous la discipline du Saint-Esprit. Ils devraient tirer profit de l'événement suivant : une jeune fille chrétienne travaillait dans une usine de rubans de soie. Une nuit, elle rêva que le jour de Jésus-Christ était venu. Un puissant son de trompette retentit. Des multitudes d'enfants de Dieu furent transformés et s'élevèrent dans les airs comme des anges. Elle aussi se sentit soudain très légère, et elle commença à s'élever du sol. Mais, après quelques centimètres, elle fut retenue par quelque chose qui était attaché à son pied droit. Avec épouvante, elle vit qu'il était retenu par un ruban de soie dont les deux bouts étaient attachés au sol. Cette grande peur la réveilla. Que signifie ce songe ? Dans le temps, elle s'était approprié malhonnêtement un ruban de soie dans son usine. Elle était certaine du pardon de la part du Seigneur, mais ce bien mal acquis était encore dans sa maison. La première chose qu'elle fit le matin après ce songe, ce fut d'avouer le détournement et de mettre cette affaire en ordre.

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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 08:45





Lundi, le 27 avril 2009
 –  Essayez la méthode divine !

« Confie-toi dans le Seigneur... et ne t'appuie pas sur ta sagesse. » Proverbes 3.5

N'avez-vous jamais prêté attention à quelqu'un qui essayait de marcher pour la première fois avec des béquilles ? Ce n'est pas facile ! Le voilà qui essaye de se tenir en équilibre sur une seule jambe avant de repartir en cahotant. Puis vous le découvrez en train de faire une pause 25 mètres plus loin, les mains déjà douloureusement écorchées. Marcher en s'appuyant sur des béquilles peut s'avérer très vite épuisant, il en va de même lorsque vous tentez de marcher en vous appuyant sur votre propre compréhension des choses !

Si vous voulez que tout aille mal dans votre vie, mettez Dieu de côté. Essayez de résoudre vos nombreuses difficultés en vous fiant uniquement à votre jugement. Quand vous vous retrouverez au fond d'une impasse, tentez une autre manière d'approcher vos problèmes. Et quand vous découvrirez que cela ne vous mène nulle part, recourez d'abord à votre sens inné de la logique avant de paniquer pour de bon !

En vérité, beaucoup d'entre nous agissent comme si le fait de nous sentir anxieux représentait une drogue. Si nous avons vécu ainsi pendant de longues années, il nous est maintenant difficile de nous rendre compte de notre dépendance ou de vouloir la reconnaître. Quand un souci s'en va, un autre prend sa place. Une foule d'entre eux campe devant notre porte attendant que nous leur souhaitions la bienvenue ! Nous donnons presque l'impression d'être heureux de les avoir comme compagnons, mais Jésus a dit qu'ils ne font que saper notre appétit de vivre et notre énergie. Ils nous forcent à concentrer notre attention sur tout ce dont nous avons besoin ou ce que nous avons peur de perdre si bien que nous en oublions d'apprécier ce que nous avons ! (Relisez Mathieu 6.25). Ce n'est pas ainsi que nous jouirons de la vie !

Au lieu de vous faire du souci, faites vôtres ces versets :

- « Ne vous inquiétez de rien »
- « Faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications »
- « Soyez toujours reconnaissants »
- « La paix de Dieu... gardera vos coeurs et vos pensées » (Philippiens 4.6-7).

Allez, n'hésitez plus ! Essayez la méthode divine !

Bob Gass

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 08:10

Travaillez au Réveil!

Par un auteur anonyme

Dans les temps de crise actuels, le Réveil de l’Église n’est pas un slogan, un programme ou une solution provisoire, mais une question de vie ou de mort. Pendant que la nuit de l’apostasie grandit, que les puissances de l’Antichrist deviennent plus menaçantes, que de graves troubles éclatent partout dans le monde et que l’on s’arme de plus en plus comme saisi par une fièvre malsaine afin de plonger l’univers dans un horrible chaos, nous lançons peut-être le dernier SOS à tous les chrétiens.

 

"RACHETEZ LE TEMPS CAR LES JOURS SONT MAUVAIS"

Si les nations sont prêtes de nos jours à donner leurs fils pour mourir pour la liberté, Dieu aujourd’hui réclame des hommes et des femmes chrétiens pour combattre sous la bannière du Christ-Roi. S’il y a tant de scories dans l’Église actuellement, c’est que la plupart de ses membres ne sont pas remplis du Saint-Esprit. L’Église qui possède la seule Espérance et le seul remède au péché et à la misère du genre humain reste très souvent, "à l’aise en Sion!" tandis que le monde se précipite vers le désastre. Nous prêchons un Évangile rempli de dynamite… mais le feu qui brûle dans nos vies n’est que feu d’artifice! Nous invoquons les "fraîches rosées" d’en haut, nous exaltons la vieille foi et sa puissance, nous chantons la victoire du Roi des cieux… mais nous laissons tout cela dans notre recueil de cantiques et nous retournons tranquillement chez nous! Les chrétiens de l’Église primitive étaient remplis d’une telle puissance "que les autres n’osaient pas se joindre à eux; ils étaient terrifiés par le "feu" de la Pentecôte. "Où est l’Éternel, le Dieu d’Elie?"

 

Reconnaissons-le, nous sommes amoindris par nos joutes pro et anti-oecuméniques, divisés par nos différences naturelles et charnelles, moribonds par nos vies spirituelles anémiées, privés des bénédictions célestes car nous avons abandonné la Parole de Dieu, négligé la prière, délaissé les assemblées, oublié Dieu pour satisfaire seulement les formes extérieures d’un christianisme sans puissance. Dans l’Église contemporaine on trouve l’idolâtrie de l’argent, du talent, de la culture, l’esprit de mondanité, impureté, rendant le chrétien infidèle à son propre et seul Époux et Seigneur. Il y a une confiance dans la chair qui afflige le Saint-Esprit et lui résiste (honneur de l’homme, tradition, puissance visible, etc.) Les croyants qui devraient avoir vu le monde à venir, la patrie éternelle, juste, bonne, sont devenus les défenseurs du "statu quo", des conservateurs de la propriété terrestre! Quelle affreuse déviation. Pourquoi les chrétiens n’osent-ils pas proclamer par leur vie qu’ils ne croient plus à ce monde et à sa justice, qu’ils refusent notre civilisation matérialiste injuste, qu’il y a une autre Justice, une autre Politique, un autre Règne qui a commencé en eux par le Saint-Esprit et qui va bientôt remplacer l’ancien?

 

En tant qu’individus, communautés et nations, nous avons péché contre Dieu et Lui seul. Mais la Parole de Dieu déclare: "Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom, s’humilie, prie et cherche ma face et s’il se détourne de ses mauvaises voies, je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son! péché et je guérirai son pays" (2 Chron. 7:14).

 

Jésus-Christ est le seul espoir du monde

Dans ces derniers jours il nous offre de nous lever et de proclamer son immuable message de repentance et de salut. Une poignée d’hommes de Dieu pourrait faire "lever la pâte" de tout ce qui a été ensemencé dans le sang, les larmes, les sacrifices et par les prières depuis la Réforme jusqu’à nos jours. Faisons donc face honnêtement au plus grand appel de Dieu de tous les temps: "Réveille-toi, toi qui dors et Christ t’éclairera". "Secoue ta poussière, lève-toi, détache les liens de ton cou, captive fille de Sion!" (Es. 52:1-2) "Soyez remplis de l’Esprit." (Eph. 5).

 

Frères, n’ayons pas peur de marcher sans l’appui de ce qui est grand, de ce qui est fort et influent dans ce monde, méfions-nous au contraire de cet appui, car la religion qui s’unit au monde pour en bénir les projets est un mensonge. Notre délivrance et nos solutions ne viendront pas des hommes, mais de Jésus-Christ, notre Dieu. Moïse refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon, parce qu’il voyait celui qui devait venir et qui lui était encore invisible.

 

Ce dont le monde a besoin aujourd’hui, c’est d’une rencontre avec Dieu; j’ai besoin de Dieu, nos foyers ont besoin de Dieu, nos églises ont besoin de Dieu. Un retour à Dieu? Oui, mais non pas vers ce Dieu parjure du modernisme et libéralisme contemporains, mais plutôt vers le Christ de l’Ancien et du Nouveau Testament, Fils Éternel de Dieu, le seul Nom donné aux nations par lequel nous puissions être sauvés, l’Homme de Douleur, le Crucifié de la Croix de Golgotha, le Ressuscité qui baptise d’Esprit-Saint et qui reviendra en puissance et en gloire et devant qui tout genou fléchira.

 

Aujourd’hui le Réveil est une nécessité, une question de vie ou de mort. Dieu est le Dieu des réveils, mais Dieu n’a pas de réveils d’occasion ou à prix fortement réduits. Il a les mêmes exigences qu’Il a toujours eues. Il y a des lois spirituelles définies auxquelles nous devons obéir. Elles ont leur origine dans la véritable nature d’un Dieu saint et dans un retour à toute sa Parole.

 

Le temps s’écoule, la civilisation est en faillite, des millions d’âmes se perdent et s’en vont vers l’éternité sans Christ. Le seul remède: Jésus; le seul moyen: un Réveil du Saint-Esprit; l’instrument: toi, ami, frère, sœur, mets-toi à genoux si les besoins de ta communauté et de ton pays ne t’ont pas encore contraint à le faire. Confesse ton péché et délaisse-le, puis demande une nouvelle effusion et onction du Saint-Esprit.

Paie le prix, prie, travaille, donne comme tu ne l’as jamais fait auparavant, afin que ces étincelles embrasent l’Europe et le monde pour Jésus-Christ en un puissant divin Réveil de repentance.

Le Réveil viendra en Europe ou aurions-nous peur de ses conséquences?

"Sonde-moi O Dieu et connais mon cœur… Éprouve-moi et connais mes pensées". (Ps. 139). "Sauvez-en, en les arrachant du feu" (Jude 23).

 

Attendez-vous le Réveil?

Les hommes essaient d’amener le Réveil à travers leurs organisations! Le Réveil de Dieu surgira seulement de la mort de notre vieil homme de péché et si nous confessons notre entière impuissance.

 

Dieu suscitera un Réveil partout en réponse aux prières de ses enfants.

Source: Le Lien des Cellules de Prière, n°C7-051 - Utilisé avec permission.

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 08:03





Dimanche, le 26 avril 2009
 –  La foi, c'est...

« Or la foi est l'assurance des choses qu'on espère. » Hébreux 11.1

Remarquez les mots : « Or la foi... » Remercions ensemble Dieu pour la foi de nos pères, et pour les expériences de foi que nous avons vécues nous-mêmes par le passé. Mais pour accomplir ce que Dieu vous appelle à faire pour Lui aujourd'hui, vous avez besoin d'une foi « actualisée », une foi pour aujourd'hui !

Jésus a dit : « Si vous aviez de la foi comme un grain de moutarde, vous pourriez dire à cette montagne : Déplace toi d'ici jusque là, et elle se déplacerait » (Matthieu 17.20). Peut-être que la foi de votre grand-mère a transporté sa montagne, mais c'est votre foi seule qui pourra transporter « votre montagne ». Nous avons tous une montagne dans notre vie que Dieu désire nous voir déplacer.

Quel est donc le problème ? L'incrédulité. Bien que Christ eut donné Son autorité aux disciples pour guérir les malades, un simple garçon possédé par un démon les avait rendus impuissants. Ils demandèrent donc à Jésus : « Pourquoi n'avons-nous pas pu chasser ce démon ? » (Matthieu 17.19).

Remarquez ce qu'Il leur a enseigné ce jour-là :

1- Commencez par de petites choses, sinon vous ne commencerez jamais. Une foi de la taille d'une graine de moutarde, s'épanouira, comme le font toutes les graines, en quelque chose de magnifique. Commencez par exercer votre foi là où vous êtes aujourd'hui. Faites confiance à Dieu pour tout ce qui touche à votre quotidien. Et lorsqu'Il honorera votre foi, montrez-vous reconnaissant, remerciez-Le pour tout et tirez-en parti pour affermir votre foi.

2- Contrôlez vos paroles ! « Si vous aviez de la foi... vous pourriez dire à cette montagne : Déplace-toi d'ici jusque là, et elle se déplacerait ». Vos paroles dégagent la force vitale contenue dans votre foi, aussi apprenez à corriger et maîtriser ce qui sort de votre bouche. Faites en sorte que vos affirmations s'alignent sur les vérités bibliques.

3- Parfois vous aurez besoin de prières plus ferventes. Certaines montagnes ne sont déplacées qu'au prix de prières intenses, ou comme dans le cas de ce jeune garçon, au prix d'un jeûne assidu. Mais si vous êtes prêt à vous soumettre aux conditions dictées par Dieu, vous verrez dans votre vie bien des montagnes se déplacer !

Bob Gass

 
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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 09:29

3. Finalement, un nombre
important de personnes qui devraient
participer aux noces,
n'y seront pas (Matthieu 25:1-13).

 

Jésus nous donne une parabole puissante en Matthieu 25. La parabole des dix vierges. Vous connaissez probablement bien cette parabole. Seules cinq des vierges avaient de l'huile dans leurs lampes lorsque l'époux vint les chercher. Les cinq autres furent exclues des noces car elles étaient à la recherche d'huile lorsque l'époux arriva.

Etant donné que les dix vierges de cette parabole représentent l'Eglise, ceci signifie-t-il que seule la moitié des chrétiens sera présente au repas des noces ? Je ne le sais pas. Mais je sais que nous ferions bien d'écouter ce que Jésus nous raconte.

Le fait que les dix vierges somnolaient et dormaient jusqu'à minuit ne me cause pas problème. Premièrement, celles qui avaient de l'huile pouvaient dormir en paix car elles en avaient assez jusqu'au matin. (Certaines personnes disent que l'huile représente le Saint Esprit et que les cinq vierges folles s'étaient promené insouciantes et avaient perdu l'onction du Saint Esprit.)

Deuxièmement, l'huile n'est pas au coeur de la parabole. Pourtant, généralement, elle attire tellement notre attention que nous passons à côté d'un aspect très important. Voyez-vous, dès le moment où les vierges ont trouvé l'huile, elles sont revenues et se sont mises à frapper à la porte, disant: "Seigneur, Seigneur, ouvre-nous..." Mais que leur dit l'époux ? Il ne leur a pas demandé d'où elles venaient, il ne les a pas réprimandées pour leur manque d'huile, il n'a pas mentionné le fait qu'elles étaient en retard. Il n'a dit aucune de ces choses. Non, il a dit très clairement: "Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas" (Matthieu 25:12). Il a dit: "Je ne vous connais pas" Voilà le coeur de la parabole !

Récemment, après une réunion dans notre église, une femme et sa fille se sont approchées de moi. Nous nous sommes serré la main et puis elles se tenaient là, souriantes. Après un moment, elles m'ont demandé : "Ne nous reconnaissez-vous pas ?" J'ai dû faire signe que non. Elles m'ont dit: "Nous vous avons rencontré il y a quinze ans, après une campagne d'évangélisation à Los Angeles. Vous avez prié pour nous. Vous souvenez-vous ? Nous sommes sur votre liste de diffusion email. Nous aimons beaucoup vos messages et nous avons suivi votre ministère toutes ces années. Comment est-ce possible que vous ne nous connaissiez pas ?"

Je ne les avais pas vues depuis quinze ans ! Je leur ai dit: "Je suis désolé, Mesdames, je ne vous connais pas." Les deux femmes m'étaient étrangères.

Certainement, Jésus sait qui nous sommes. Il est omniscient. Il sait tout. Mais il ne s'agit pas de ce type de connaissance dans cette parabole. Jésus dit: "Vous ne m'avez jamais pris au sérieux. Vous ne m'avez jamais mis à la première place. Et cela ne ressemble pas à ce que j'attends de mon épouse. Vous n'avez pas cette relation à coeur, Vous m'avez négligé. Je ne peux reconnaître votre esprit, votre style de marche. Je ne peux vous accepter à mes noces !"

Bien-aimés, connaissez-vous Jésus dans votre lieu secret autant qu'à l'église ? Lui parlez-vous alors que vous êtes en chemin vers votre travail, dans votre voiture, dans le métro, dans le bus ? Etes-vous présents autant que possible lorsque les portes de l'église sont ouvertes ? Jésus vous connaîtra-t-Il quand le dernier jour viendra ?

Une promenade dans les rues de
New York, la nuit, peut être une
expérience à vous briser le coeur.

 

Il y a quelques semaines, je me suis promené dans le quartier proche de notre bâtiment afin de m'acheter un journal. Quand je suis arrivé à la rue quarante-neuf, j'ai vu une femme sans-logis, l'air triste, assise sur le trottoir. Elle ne devait pas avoir plus de 50 ans mais avait l'air d'en avoir 80. Elle me regardait d'un regard affamé et perdu, comme pour dire : "Voilà tout ce que la vie a à m'offrir." J'en avais le coeur brisé et je pensais : "elle est la mère de quelqu'un !"

Tournant à droite, vers la huitième avenue, j'ai vu un jeune homme aux cheveux fous. Il était drogué et passait près de moi d'un pas hésitant, murmurant des mots que personne ne pouvaient comprendre. Je pensais : "Il vit l'enfer toute sa vie, et quand il mourra, il passera probablement l'éternité en enfer." Cela me semblait si tragique et cela me rendait si triste et désemparé.

Après avoir acheté le journal, je me suis retourné et je suis passé à côté d'une jeune prostituée. Elle avait le regard vague. Son corps avait l'air brisé et malade, et pourtant elle essayait encore de le vendre afin de pouvoir s'acheter de la drogue. Je me demandais si elle avait jamais connu une vie normale.

Je suis revenu à mon appartement plein de tristesse. Je me suis assis, j'ai regardé vers le haut et je me suis mis à pleurer : "Ô Dieu, cette ville n'est-elle pas suffisamment l'enfer ? N'auras-tu pas pitié de ces pauvres gens lorsqu'ils se présenteront devant toi ? Aucun d'eux n'a entendu les sermons que nos amis de l'église de Time Square ont pu entendre. Ils n'ont pas connu la communauté des saints. Ils n'ont pas été touchés par l'Esprit Saint. Ils n'ont pas les capacités mentales pour attendre Ton retour. Ô Seigneur, parfois je pense que Tu seras plus miséricordieux avec des pauvres gens qu'avec tous les saints qui ont entendu des centaines de sermons mais Te rejettent toujours !"

En effet, Jésus a dit qu'Il sera plus tolérant pour Sodome et Gomorrhe que pour ceux qui ont un jour goûté des grâces de Dieu. Je parle des personnes qui ont connu Dieu. Je parle des personnes qui ont connu la puissance du Saint Esprit, qui se sont engagées à aimer et à servir Jésus jusqu'à la mort, mais qui se sont détournées vers l'égoïsme, le matérialisme, et leurs propres intérêts. Dites-moi, comment pouvez-vous vous attendre au retour de Jésus si vous êtes tout accaparés par les bonnes choses de ce monde ?

Si Jésus n'est pas la " prunelle de vos yeux ", si toute votre attention n'est pas tournée vers Lui, vers Son église, vers Sa Parole, vers Ses intérêts, vous ne pouvez être Son disciple. Ce serait mieux pour vous d'être un pauvre sans-logis que d'être un tel hypocrite !

Je le dis à nouveau, avec amour. Beaucoup d'entre vous qui lisez ce message n'y arriveront pas, sauf si vous faites cet engagement dès aujourd'hui. "Seigneur, à partir de ce moment, je m'engage à faire de Toi le centre de ma vie ! Tout le reste passera après Toi. Tu es tout pour moi, Jésus. Et, je sais qu'autrement, tout sera en vain !" Amen! ---

Source: World Challenge, P. O. Box 260, Lindale, TX 75771, USA.

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pour t'ouvrir la porte du ciel.
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